19 juin 2022

Granit Montana

Que faire avec cette canicule ? Et si on allait se mettre au chaud dans les Monts D'Ambazac ? 😎
Il y a là-bas paraît-il de quoi parcourir quelques jolis sentiers sauvages 😋. Allons revisiter tout ça.

► Strava - Granit Montana

La Granit Montana en est à sa douzième saison. Pour moi ce sera la troisième. 
Modestement je me cale sur le parcours le plus court cette fois, et celui qu'on serait tenté de qualifier de tracé le plus "facile". 65 km et 2500 m de D+.
Je connais un peu le site, je connais aussi un peu les loustics organisateurs maintenant et leur façon de profiler un circuit vtt, et enfin je me connais quand même assez 😀 pour savoir si ma préparation est adapté à ce qui est proposé. 
Et puis, comme par hasard on est sous épisode canicule, ce qui était le cas en 2013 pour ma première (70 km) et en 2017 pour ma Granit N°2 (100 bornes), où j'avais chargé comme jamais. 
Donc avec tout ça, je sais que 65 km dans les collines limousines, ça suffira amplement.

Samedi on approche avec Ana. La chaleur est du genre saharienne. On retrouve la grosse organisation de la Granit déjà en place sur un mini village au bord de l'Étang de Jonas, et pas mal de participants sur la rando de 40 km proposée l'après-midi. Le thermomètre a de la fièvre et affiche une température assez folle.
Installation au camping juste à côté, et récup du pack inscription. 
Pour faire passer l'aprem et éviter le coup de chaleur, une petite trempette dans un lac situé quelques km plus au sud et le soir, pasta party pour tous.


Au pieu de bonne heure, et réveil idem. 
Les premiers départs 6h30 pour le 85 km - course XC Marathon. Ensuite toutes les dix minutes, un départ supplémentaire pour les randos-raids. 100 km d'abord, 80 km en suivant, et enfin le 65 km tracé original. 
A noter que chaque parcours a été légèrement raccourci de quelques km suite à une demande préfectorale, pour éviter les côtes en plein soleil. C'est de l'ordre de 3 à 4 km maxi, et ça ne change pas grand chose au final, ce qui est très bien.
Manquerait plus que des bureaucrates ultra climatisés et probablement ignorants des choses du vtt (et d'autres), soient préoccupés de notre santé de sportifs irresponsables 😀. 
Oui je sais, le principe de précaution. En principe, celui-là il m'emmerde beaucoup plus que la chaleur 😊.

Bon sinon si on pédalait un peu !
Ce matin sur la ligne, la température est plus clémente. Genre 25 degrés environ vers 7h00, et ça va monter mais moins que la veille normalement.
Les coursiers du 80, les raideurs du 100 et du 80 sont déjà partis. Manque plus que nous sur le 65. On est un paquet sur la grille.
7h00 c'est l'heure. Le troupeau s'engouffre rapidement dans le petit sous-bois. Assez cool sur les premiers km on peut progresser sans trop de difficultés. Ça monte quand même. 

Au bout de 5 ou 6 bornes, on va passer à la vitesse supérieure concernant les bosses, et ça va aller moins vite 😀. On attaque les hostilités et ça va pas se calmer de sitôt. Les enchainements montées descentes vont sembler incessants sur les 20 premières bornes et les pourcentages en côte, c'est du gros velu. 
Le fat est en forme, il passe partout mais ça pique sévère partout dès que ça monte. Bon eh, j'en bave déjà. Sans surprise !
A la Granit je m'inquiète plus trop, car même si je suis en forme quand même et un peu préparé, là-bas j'ai toujours l'impression d'être à la ramasse. Ça me le fait sur chaque édition, et je suis pas le seul comme ça 😉. C'est rassurant d'ailleurs.
Alors les talus ils vous persécutent continuellement c'est clair, mais derrière les talus, vous allez savourer autant de descentes merveilleuses. Et là en matière de descentes, vous avez du caviar haut de gamme et à la louche. C'est simple y a que ça on pourrait dire. 
La Granit est quasi unique je crois sur ce type de descentes. Monotraces de rigueur partout. La sente est sauvage et elle sait vous filer du sourire en long et en large.
Elles sont plutôt orientées très techniques pour la plupart. Mais ça reste un régal de jouer avec les arbres, les blocs de granit, les pentes qui penchent fort vers le bas ou les tourbières ultra souples. Elles semblent juste plutôt courtes certes en temps, ou c'est les bosses qui semblent longues 😀, mais on en profite un max. 
Comme dans les montées, tout se passe sur la selle en descendant, si on a un bagage technique suffisant. Et ce qui reste le meilleur c'est le côté ultra ludique de ces splendides traces. 
On y trouve des trésors cachés un peu partout dans ces forêts.

© Photo Christian Vergnaud - Toutes les photos de la Granit à consulter sur sa page FB

Il faut juste passer les collines pour en profiter 😀.
Sur les vingt premiers km, du départ jusqu'à Saint-Sylvestre, le compteur affiche 1000 et quelques mètres de positif 😁. On comprend vite pourquoi l'impression de pas trop avancer se fait sentir un peu partout. 
Le terrain très souple ne favorisant pas trop le rendement en montant, même sur les parties un peu roulantes ou pas très raides. Tout ça use bien les bourrins. Et on n'a fait que 20 bornes !
Ce début de parcours est exigeant, les côtes sont très raides à passer, mais en contre partie on y retrouve autant de purs joyaux à descendre. Sur le nombre de descentes, un petit bijou plutôt long d'ailleurs de la DH de Pouyaud, c'est probablement la meilleure de toutes. Rhoo le pied dans celle-là !
Un peu plus loin au km 15, c'est le premier ravitaillement.
En continuant, une bonne bosse qui se profile encore avec un final gaillard. La petite descente suivante s'appelle la Mine. De quoi se réjouir encore. 
Un peu plus haut je sais plus où, on aperçoit le Lac de Malessart. Bien pour la baignade mais une autre fois. Ce qu'il y a de mieux à faire pour le moment c'est la DH le Défi du Guetteur qui va arriver après le monticule. En voilà une autre qui va vous faire planer de bonheur.
Km 19, on vient de descendre une petite perle dans le sous-bois, et je reconnais direct la bosse qui arrive. Argh ça va chatouiller les mollets encore. Dans la rocaille épaisse et hostile, pour passer il faut des watts ! Le fat fait le taf sans broncher, mais les cuisses ne lui disent pas merci. Vacherie celle-là ! Cinq cents mètres de torture 😀.

Dès qu'on termine ce chemin en parpaings, c'est le bourg de Saint-Sylvestre.
Je zappe la première bifurcation du 65 et pars sur une petite boucle qui concerne le circuit 80 km. Ça ajoute 7 km de plus sur mon parcours. Une variante de plus pour en profiter un peu plus. 
C'est là que je retrouve Marco parti sur le 100 et en fat aussi. On n'est que deux je crois avec de gros boudins. On va faire la descente suivante ensemble. 
Les fats ça déménage autant que les tout mous sur la Granit. Le terrain peu cassant ou pas du tout, est idéal avec ce genre de biclou. J'ai pas vu le paysage en descendant 😀. Ça roulait autant qu'on pouvait dans une belle trace rapide. Un peu plus bas, on retrouvait de beaux passages plus joueurs qui se terminaient au lieudit La Chaise.
Ensuite fallait remonter pardi. Une bosse pas très rude qui passait bien avec une belle petite descente en prime quelque part au milieu du bois. Y a d'la joie à la Granit !
Et puis j'avais maintenant un rendement un poil meilleur après quasiment 25 bornes. 

Marco toujours en Fat - Une belle descente en duo 👍

Plus haut, je rejoins le parcours commun au lieudit Le Mas. Le tracé se poursuit en mode un peu plus cool sur quelques km. Le dénivelé positif est moins percutant par ici, et ça semble un peu plus "roulant". 
Km 28, sur une bifurcation des parcours on aurait du avoir un ravitaillement. Je l'ai pas vu. Juste vu un aiguilleur qui me donne la direction à suivre pour le parcours 65 et je poursuis la trace. D'autres concurrents que je retrouvais dans ces secteurs n'avaient pas vu le ravito 2 non plus.
Un peu plus loin sur un croisement de route, il y a un point d'eau ajouté par l'organisation. Bien vu ! Je m'arrête refaire le plein, et c'était judicieux car le ravito suivant était loin en temps.

Les secteurs rugueux en bosses reviennent vous tourmenter petit à petit. Chaque montée est rude et vous use la couenne. On s'y file du jus pour les gravir, et derrière on jubile quelques minutes pour engager une DH excellente. 
Dure à gagner, mais belle à dévaler, c'est le deal de la Granit en quelque sorte.

Km 25 (32 pour moi avec ma bouclette en plus), ça faisait un bout de temps que ça grimpait, et on va avoir un profil descendant plutôt long et bien bon sur le ruisseau de Guimbelet. La suite ce sera des parties grimpantes vers Chatain-Vieux, avec quelques petites sentes bonus à savourer.
Le ravitaillement numéro trois est sur ce lieudit. 38 ème km pour moi (31 sur le parcours original du 65).
Il est bienvenu, je fais la bonne pause pour engloutir du salé et refaire le plein.

En repartant c'est dans une trace bien planquée que ça se passe. Un secteur herbeux en tôle ondulée qui vous réveille si vous faisiez la petite sieste après le repas 😀. On a aussi si je me souviens bien, un morceau de single torsadé de dingue entre des petits arbustes. Et puis c'est pas vieux le bazar on dirait. De nouveaux petits sentiers chaque année à la Granit. Bravo !
Partez pas c'est pas finit. Bien vite on lâche les herbes hautes pour reprendre une sente boisée magique. Et hop un délice de mieux.


Le parcours se poursuit vers la Pierre Millet et la descente sur le lac avant de remonter vers le lieudit La Chatie. 
Durant une petite dizaine de km, le rude des montées précède le plaisir des parties descentes. Ça cogne dans le dur la Granit ! Il faut serrer les dents et se faire violence souvent pour passer le cap de la bosse et aller chercher la bonne part du gâteau dès qu'on bascule.
La chaleur malgré l'ombre permanente des sous-bois est présente et finit par user. Dans les parties un peu plus à découvert on a pu profiter de quelques portions bien ventées et appréciables au passage.

A plusieurs reprises sur le tracé, on voit un photographe qui shoote tout le monde. Vivement les photos ! Merci.

Le petit hameau de Saignedresse est au km 40 (47 pour mon compteur). On va descendre ensuite sur l'Etang de l'Âne.
La suite vers le Puy de Forret demande encore des efforts sérieux. Un lit de ruisseau hyper caillassé à remonter, ça aiguise les mollets 😀. Le fat est vaillant encore là-dessus, mais les guiboles en veulent plus trop et sont plutôt absentes quand il s'agit d'appuyer 😏, donc on fait marcher la cabeza pour garder un peu l'allure et éviter de poser le pied partout. 
Faut penser en venant ici d'avoir un développement adéquat, sinon il va y avoir du pédestre dans les bosses, et l'accumulation, plus que partout ailleurs est terrible pour le physique.

Une petite descente supplémentaire quand on a passé le point haut et on repart à la grimpette vers le dernier buffet. Ouais ça monte les amis ! Huhuhu, j'espère que vous aimez les côtes au fait 😉.
Km 45 du circuit 65. J'en ai toujours 7 de plus et ils m'aident pas là maintenant 😋.
Ravitaillement quatre, on fait le plein. Y a un peu de monde qui s'abreuve. 
Je repars un peu plus tard. j'ai quasi roulé en solo, mais avec parfois des compagnons de roulage qu'on rattrape et avec qui on peut rester un peu sur la même allure.
Sur le final, cinq ou six personnes m'ont doublé du parcours 85 XC. Elles étaient encore dans une belle allure avec les bornes en plus. J'avais l'impression de me trainer pour ma part. Mais en fait c'était pas une impression 😂 ! Bravo les gars. 80 et 100 c'était pas pour moi aujourd'hui.


Je me disais la veille et au début que je ferais peut-être quelques boucles en plus en fonction des sensations et de l'envie, mais je n'ai plus dévié de la trace 65 à chaque nouvelle bifurcation. Ça ira plus que largement à l'arrivée 😋. J'aurais mon compte !
Les bifurcations sont plutôt nombreuses cette année. Les différents tracés sont articulés sur le circuit 65 km qui constitue la trame originale et ensuite de multiples boucles de quelques km viennent se greffer pour accumuler les distances supplémentaires. Et le tout bien signalé, avant les croisements, sur les croisements et aussi après les croisements. Impossible de se planter. 
Balisage impec et riche. Panneaux, rubalises, tags fuchsias au sol, y a tout ce qui faut pour s'orienter sans difficulté.

Passé le dernier ravitaillement il reste 17 km.
C'est un peu moins raide en bosse globalement. Montez un peu vers Marzet, puis vers le village de Sauvagnac par des chemins un peu plus abordables, profitez de quelques bonus descendants au passage, et enfin pour finir il faut gravir ce qui sera la dernière grosse montée on peut dire. La Pierre Branlante. Ouais c'est dur, mais c'est loin de te filer la gaule 😂. 
Le point le plus haut du parcours est par là (680 m au-dessus de la mer) Mais la mer est loin 😀!
Un morceau de descente arrive. Ça fait toujours du bien dans ce sens ! Tellement que j'ai failli manquer la dernière bifurcation et faire la dernière petite boucle du 100. Oups !

En fin de descente, ça remonte une dernière fois, pas très fort, mais on en a quand même plein les godasses croyez moi, et puis une espèce de délivrance nous attend bientôt. Si vous êtes assez lucide pour lire, vous verrez un panneau arrivée 10 km.
Ouais alors dix bornes à la Granit, c'est pas une mince affaire. Mais là pour le coup, même si t'es rôti ou cramé des deux côtés, ça va être plus cool vraiment. 
Comme annoncé au départ, le final a été pensé pour être plus soft et ne pas ajouter encore des difficultés copieuses.
Le profil est en descente sur ces derniers km, avec juste un petit 100/150 m de D+ intermédiaire, qui compte dans les jambes, mais c'est quand même bien plus doux que les montagnes russes qu'on a avalé depuis le début.
Par contre question DH on va en faire une belle et assez longue en temps. De plus elle est encore bien technique et même tendance enduro 👍😍.
Bon c'est la fin, t'es cramé, faut se la couler douce, et faire gaffe où tu poses les roues. La fatigue peut t'envoyer tendrement faire un petit bisous à un granit de passage ou à un arbre qui glande au bord de la trace. Mais sinon à part ça, c'est sensass encore, et impec pour finir. 


En bas plus ou moins on passe le village de Noueix. Le petit dénivelé suivant s'étale sur deux km à peine. Ah tu crois toujours que c'est terminé la Granit. Rêve mon pote ! 
Ça passe pas trop mal, mais un peu quand même 😀. On sait qu'après ça y a plus rien à grimper.
Et derrière dès qu'on récupère la trace du matin. à l'envers cette fois et en descente rapide, c'est tout de suite impec.
Cinq km du but, ça s'approche.
Un peu de goudron vous envoie dans le dernier monotrace qui vous dépose au bord de l'étang. Cool, il est temps d'en finir avec un superbe tour de lac bien joueur. Je suis plus trop d'attaque pour le faire à vive allure comme ça doit se faire en temps normal pour s'y régaler encore plus. 
Alors je profite peinard des derniers km. On suit du regard l'aire d'arrivée durant ce petit tour. La sono donne de la voix et commence à se faire entendre sur les ultimes km. 
Au bord de l'eau, on déroule les sentiers qui longent les berges du Jonas, et au bout du petit chemin, l'arche d'arrivée.

C'est finit pour cette Granit Montana 2022. 
Arrêt sur la ligne il est 14h00. Le matin et la veille même, je me disais que je ferais en sorte de finir vers 14h00 si je peux. Là pour le coup, c'est le timing parfait !
Le compteur affiche 68 km avec mon petit bonus du matin en supplément. Le dénivelé est de 2700 sur le Garmin. 7h00 de temps total quasiment, avec 25 minutes d'arrêt.
Je pige pas pourquoi je suis vide et j'ai plus de cannes 😀. 
Par contre comme d'hab le sourire est extra large à l'arrivée.

Au fait ravi d'avoir revu quelques copains pour cette occasion. C'est toujours un grand plaisir.


Un monument la Granit !
J'avais oublié un peu en cinq ans combien elle te fait dérouiller dans un sens dès que ça grimpe, et comment elle t'envoie au paradis dans l'autre quand tu bascules dans les dégringolades joyeuses et ludiques. C'est assez unique et on trouve rien de comparable je crois. 
L'intensité folle des bosses (y en a un paquet) s'efface dans les descentes, et tu dégustes ça pendant six, sept, huit, neuf ou dix heures même selon les parcours.
C'est un sacré défi. 
Beaucoup n'y viendront peut-être pas à cause de cette difficulté, ou parce que ce n'est pas vraiment leur terrain préféré ou adapté, mais ça reste une super épreuve qui mérite qu'on y passe une fois au moins pour se rendre compte du challenge. Attention par contre car quand on y a croqué... 😉

Une fois passé la ligne, le petit village gaulois reste animé et propose une hydratation sérieuse autour du manège carré, et tout autour vous avez de quoi vous restaurer avec un plateau repas complet.
En milieu d'après-midi, la chaleur est remontée d'un bon cran. 
Il fait bon rester à l'ombre et récupérer de ces gros efforts. Avec une pensée pour ceux qui roulent encore sur les gros parcours, pour tenter de venir à bout de ce sacré challenge, qui demande jusqu'au bout de se surpasser en quelque sorte pour boucler ces traces très exigeantes.

Cette édition 2022 restera une superbe réussite pour tous. Il faut pour cela féliciter grandement le Sprinter Club d'Ambazac. Et ajouter des remerciements abondants pour toute l'équipe de bénévoles autour de Laurent, Stéphane, Pascal, qui structurent parfaitement cette manifestation durant ces deux ou trois jours intenses pour eux autant que pour nous. Leur taf est considérable sur ce WE et on imagine aussi le reste de l'année un autre boulot considérable pour tracer et entretenir ces pépites. Ouais mille merci à vous. 
Et le meilleur moyen de célébrer leur passion communicative, c'est d'aller faire cette Granit Montana, ce qui sera pour eux la plus belle des récompenses.
C'est toujours de plus en plus difficile de continuer chaque année de faire vivre une épreuve, et vous le faites bien. Bravo ! 

Bon voilà, moi j'adore la Granit 😍. Et c'est pas peu dire. 
Vu le nombre chaque année, on peut dire que je suis pas le seul dans ce cas. Y a des fêlés que voulez vous ! 😀
Et pourtant elle m'en fait voir la garce 😊, et à chaque fois plus que la précédente je crois. 
Pas grave je reviendrais encore pour en reprendre une belle dose. Le fat est déjà partant 😀.
Salut à tous.


Le profil qui va bien... quand ça descend 😀




La plaque de la GM 2022




Des parcours pour tous et un topo complet - Y a plus qu'à 😉




85 km XC Marathon au départ - 6h30




6h40 - Parcours Granit Epic - 100 bornes 4500 m D+
Une balade monstrueuse, un challenge unique - Bravo les gars ! 




Durant le petit briefing on patiente peinard nous




Groupe 65 km, le plus nombreux - 7h00 du mat




Premier défilement de singles




Ravitaillement 1 au km 15




Saint-Sylvestre - Ancien village départ - km 20 - 1000 m de positif déjà 😯 😋




Marco habitué de la Granit - On a fait swinguer les fats sur une descente 👍😍




Ravito numéro 3 - Km 31 (38 à mon compteur)




Deux ou trois passages montant sur des roches ou des pavasses mobiles.
C'est follement amusant ! 😁 Et d'une douceur vous imaginez même pas 😀




A table pour la quatrième fois. L'appétit est bon !
Il reste 17 km à partir de là. Une simple formalité 😂




Aie aie aie, ça déboise copieux ! 




On est pas bien là ?! 😎





Bon pour le moral quand vous êtes là. Les difficultés sont quasi terminées




A moins de cinq km du but, le tour du lac est extra pour finir




 Moins de deux bornes, on entend déjà la sono




Les berges du Jonas - Ça chauffe à découvert, mais dans cinq cents mètres ça va être bon




La Granit Montana s'achève déjà 😀




Des km et du dénivelé en Haute-Vienne 😉 Rude et sensass ! Un truc unique




Deux fat dans les Monts d'Ambazac. J'en ai vu un troisième sur les photos
Je dirais que ce vtt va super bien là-bas. Terrain idéal




Une mousse avec Marco



L'attraction principale peut-être 😉





Bravo et merci pour tout. Superbe !


5 commentaires:

  1. Salut, très joli comme !, j'étais seulement signaleur, ça me donne envie de faire l'an prochain, mais il va falloir beaucoup d'entraînement ; même si j'habite à Ambazac !

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    1. Faut pas hésiter :-) L'entrainement est nécessaire oui, mais ça vaut le coup.

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  2. Sandra femme de Marco21 juin 2022 à 20:56

    Merci Yves très beau résumé. Ravi que ça t'est plu. Et merci pour Marco et les photos. A la prochaine 😜

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    1. Salut Sandra. Merci à toute l'équipe surtout. Au plaisir.

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  3. Salut Yves
    Merci à toi pour ce superbe reportage en immersion

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