17 avril 2022

Roc Trespouzien

Le Roc Trespouzien vous connaissez ?! 😀 
On n'allait pas manquer ce rendez-vous d'avril qui revient en 2022, et toujours en grande forme. Deux ans sans ces trop bons sentiers, c'était pas permis de louper ce nouveau millésime.


► Strava - Roc Trespouzien

Il fait nuit encore quand on y arrive un peu avant 6h30. On est trois seulement, les autres dorment encore 😀. On les retrouvera à la fin au repas.
Avec J Luc et Arnaud on part sur le 100 bornes et pour éviter que ça finisse trop tard dans l'après midi on préfère anticiper le départ. Pour ceux qui veulent faire plus léger vous avez quatre ou cinq parcours de 15 à 80 km, et même du trail et du pédestre.
Météo chaude aujourd'hui il parait. Mais il va falloir patienter un peu que le soleil se réveille, parce que vers 7h00 on est encore dans les trois quatre degrés au mercure 😮.


Petit café, récup des inscriptions, derniers préparatifs, salut à quelques copains sur place, et on enclenche le mouvement vers 6h45. Bruno est avec nous, ce sera un quatuor de roulage. 
Le jour est pas vraiment levé sur les premiers hectomètres.
Direct on va descendre vers la Combe du Roc. C'est déjà les enfilades du sentier sous les roues. Ouais c'est bon, mais ça caille fort. A se demander si on va pas tomber sur de la gelée blanche en bas 😁. Gla gla ! C'est quand qu'on monte ?
Y a qu'à demander. Ce sera un chemin tranquille pour reprendre de la hauteur. Pas trop le temps de se réchauffer qu'on redescend déjà dans la descente rock'n roll 👍 qui secoue pas mal sur la fin.

Au fait aujourd'hui j'adopte la fat attitude. Premier roulage avec le tracteur 😍. Léger et très maniable, il va tout faire comme n'importe quel vtt. Si ces engins ont plutôt un visuel qui semble pataud et lourdaud vu les boudins qui les habillent, quand on est dessus c'est comme un autre vtt quasiment. C'est juste un peu plus camion à mener, mais au bout de trois mètres et quelques tout droits, on n'y fait plus gaffe 😀. Ça monte partout aussi bien, ça roule pareil, et ça sait descendre partout et parfaitement pour un tout rigide. 

En dessous de Merle on remonte un bon moment, ça chauffe un peu plus maintenant. On enchaine quelques liaisons entre Lacapelle et Les Junies pour progresser sans difficulté.
Km 10 un sentier remonte vers le Pech de Poujade. C'est bon ces petites traces ludiques ! 
Sur la plaine lotoise, Cahors est en visuel à droite tandis qu'on déroule vers le Cap des Gourmies. Un peu plus loin une belle petite pépite apparait pour redescendre. Monotrace extra qui finit sa course dans la Combe de Pradines. Régal !
Depuis le début le terrain est parfait pour rouler. Juste un peu d'humidité de la nuit qui colore les pneus sur certains passages.
Le fléchage quant à lui, c'est du tip top comme toujours. On le voit de loin, bien positionné, RAS.
On a aussi la trace gps au cas où.


La suite remonte au dessus de Pradines pour continuer les bonnes séquences et attraper une autre descente.
Proche du refuge canin, on va avoir droit à la longue remontée vers le Cap de la Cévenne et le site des parapentes de Douelle. Belle bosse, avec encore des variantes dans les sous-bois. Il y a eu du boulot d'ouverture encore ces dernières années 👍. 
On poursuit le roulage après le premier plateau pour la partie finale de la bosse. 

Km 20 tout en haut sur le point de vue, on tombe sur le premier ravitaillement.
Grand soleil, ciel lumineux, et ravito copieux.
Et on retrouve Julien partit en chasse un peu après nous, qui nous rejoint ici. Nous voilà cinq pour la suite.

Descente sur Douelle. Remuante et rebelle celle-là. Le cailloux y est abondant sur quelques passages rugueux. Mais on aime ça, même si ça remue fort sur le tracteur. Le fat tiens le rythme, moi un peu moins.
A douelle, on va dérouler tranquille à plat sur le chemin le long du petit ruisseau. Une belle bosse à venir dans Combe Longue. Super sentier ondulant et bien long qui va remonter la combe progressivement. Ça passe bien jusqu'au deux tiers. Ensuite le final c'est très raide. 
Revenu pas loin du ravito un, on file maintenant rapidement sur le GR qui descend la petite route pour choper la bonne descente en monotrace.
On va déguster toutes ces bonnes traces jusqu'à rejoindre la route au bord du ruisseau de Flottes. 
Un peu plus loin après une mini portion de goudron, on se pose au ravitaillement numéro deux km 30.


Petite pause bienfaisante avant de s'y remettre.
Ce ravito sert de pivot à toutes les boucles qui composent les différents parcours. On y fera trois passages en tout. 
Pour l'heure la boucle deux, longue de trente km supplémentaires nous attend.
Allez c'est Pâques, mais on n'est pas d'ici. Pas le temps de chercher les œufs en chocolat, fat rouler... euh faut rouler pardon 😀.
On se retrouve illico dans une sente furtive qui galope à quelques mètres de la route sous le Pech de Rassiels. Ça va nous donner une longue remontée de trois gros km. 
Sur la plaine le Travers de Glorie et ses sentiers ludiques vont encore dérouler des merveilles de traces nouvelles et faire tout le tour du plateau. Rhoo eh... c'est le pied à vtt par ici.
Les liaisons suivantes roulantes ce sera vers Ventejouls, avant de repartir encore dans les monotraces pour éviter Labouysse et cavaler dans les singles jusqu'au ravito 3 au km 42. Eh le traceur s'est encore éclaté pour nous mijoter une trace de dingue 👍 👋. 
Ça consomme du jus oui tout ça, mais dis donc ce que c'est fort.

Bon allez à table. 
On voit pas grand monde encore sur les arrêts buffets. Les tables sont pleines. 
Pour s'y remettre, un chemin paisible remonte un peu par le GR. Profitez en car c'est pas long. On tarde pas à s'engouffrer dans le monotrace XXL du Pech Saint Martin. Un pour régal de sept ou huit km qu'on visite quasiment à chaque édition maintenant. Il a bien changé, et s'est assagi avec les multiples passages. Il reste physique tout autant que ludique. 
Quand on en termine avec ses incessants virages et petits reliefs tout en relance, ça plonge vers la Combe de Vadaillac. Une descente de mieux.

Tiens on retrouve un compagnon de plus pour rouler depuis quelques minutes. Jean-Marie que j'avais pas revu depuis quelques années. Bon lui il roule en poursuite depuis le début, mais il va rester sur notre allure plus calme jusqu'à la fin. Bien sympa tout ça !


Après la descente, je sais d'avance ce qui nous attend. Je sais aussi que je vais pas aimer, même si la bosse à venir est bien belle.
La montée de la Croix des Morts. Un nom toujours de circonstance 😀. 
Au départ dans la vigne faut rester calme, et dès qu'on se "précipite" dans le joli sentier, là ça pique plus fort encore. En gros il y a deux ou trois cents mètres très raides. Ça passerait si c'était la dernière montée, l'effort vaudrait le coup, mais on n'est qu'à mi-parcours et sachant ce qu'il reste c'est pas raisonnable de passer en selle. Quelques minutes à pied, ça passe mieux et on garde du peps pour plus tard. 
Un peu plus haut passé le virage, on peut terminer le reste de la montée sur le vtt. Superbe sentier à rouler jusqu'en haut de Douelle. C'était la dernière grosse bosse de cette boucle 2.
La suite c'est que du bonheur pour relier Mader et se filer de belles relances sur tout le Travers de Fontanusse. Encore une séquence toute extra en monotrace intégral, suivi de la belle torsade bien propre qui replonge sur le final. Six km sensass qui se terminent au ravito commun (2ème passage). Belle boucle la B2 !

Un bon passage à table pour recharger un peu de rillette et pas mal de sucres aussi. La journée est splendide, il y a du monde sur ce ravito encore, le parcours est impec, on est à Trespoux quoi 👍😎.

Sur ce ravito, on n'en est qu'à 60 km de bouclés. 40 encore ça semble long ! Ça fait presque 5h30 qu'on a démarré. 
Allez hop en fat 😋. Il bronche pas le bestiau, il tiens bien le coup. Il y aura quelques réglages de positions des commandes et du cintre à faire, mais sinon rien à signaler.
La boucle 3 ce sera à nouveau une bonne trentaine de km.
Départ vers la Combe de Rassiels. On continue de rouler groupé avec J Luc et Bruno. Jean-Marie ainsi que Mikaël adoptent notre allure. 


Le bon sentier de la combe nous envoie sur la bosse qui grimpe à Labio et Vigne Blanque. Costaud celle-là d'entrée avec un joli final ombragé sous la végétation. Pour ceux qui connaissent ou ont l'œil attentif, on passe à côté d'un vieux lavoir taillé au creux des rochers.
En haut on respire décontrasté 😉 sur la route qui rejoint l'église de Rassiels. Mais le calme à Trespoux ça dure pas, et d'ailleurs on vient pas pour rester tranquille. Un peu plus loin à gauche ça repart à l'assaut du single qui va bien pour aller vadrouiller dans les Témèzes. On s'amuse encore à cravacher bon train parfois dans ces traces ludiques.
Bon puis soudain on a entendu comme une gueulante qui a du affoler plus d'un sangliers 😯😀. 
Euh comment dire... J Luc a explosé son dérailleur. Enfin plutôt la patte du dérailleur. Rien d'autre n'a souffert, c'est déjà ça.
Diagnostic rapide, c'est mort pour la suite. Ouch ! Coup dur. 
Un genre de pépin qui est arrivé à tous, mais très rarement heureusement.
Bon pour lui c'est retour vers l'arrivée au plus court après avoir mis en single speed.

Quant à nous on poursuit les sentiers.
La navigation maintenant se fait au gps. Les balises ont disparues.
Descente des Témèzes avec du bon monotrace. On va chercher un peu plus loin le petit travers de Plantou Blanc toujours sympa, avant de remonter vers Trespouzets. Une bosse pas très rude. Le cumul commence quand même à faire ses effets dans les guibolles.
Sur la hauteur, une petite tournée dans les vignes et revoilà bien vite un long petit sentier joueur.

Km 70 après le carrefour de la D12, cap vers les merveilleux passages des Devèses. On va se régaler en grand sur quatre gros km et dans un rythme plutôt accéléré. Faut y aller au plus vite là-dedans c'est vrai 😀.
La fin de ces merveilles se termine en longeant le ruisseau de Landorre. 
Allez maintenant ça va être rude sur deux ou trois raidars pour remonter un peu et serpenter sur la plaine avant Cambayrac. C'est encore une super trace par ici, mais ça consomme du jus ces tourniquets incessants.


Cambayrac village, km 76. On pensait retrouver le ravito de la boucle 100, mais non y a rien. Le quatuor poursuit dans le chemin suivant.
La descente de la Fontaine de Saint-Perdoux s'invite à la fête. Bon j'adore et le fat il y va au max dans celle là. Ça descend bien pour se filer la banane, c'est plutôt lisse dans l'ensemble, et même si ça tapote un peu quelquefois, faut lâcher les freins. Juste quelques dalles de roches en bas pour secouer la pulpe.

Remontez svp maintenant. L'entame des sentiers qui conduit aux Gorges de Landorre, c'est fabuleux à rouler sous les tunnels de végétation. On progresse le long du ruisseau, jusqu'à la passerelle qui bifurque pour la montée vers Les Roques. Bon c'est beau, bucolique et tout ce que vous voudrez tout ça, mais ça grimpe plutôt fort au début. 
Les km sont plus lourds et la bosse pèse quand même sur cette belle montée en sentier ombragé tout le long.
La trace de cette dernière boucle reste très bonne, mais elle est aussi la plus physique depuis le début. Le ravito est déjà 20 km derrière et toujours pas le suivant qu'on suppose maintenant être en haut de cette côte.
Bingo ! Après en avoir bien baver pour atteindre le plateau, il apparait. Km 80 c'est le cinquième.
On va y rester le temps de bien recharger. Tout le groupe en avait besoin visiblement.

A la reprise, les chemins traversent le plateau pour un joli moment de calme.
Le ravito a fait du bien et on a pu retrouver un bon rythme de progression. 
Descente bien vibrante des Malaises. Ça secoue ! Le fat encaisse bien mais il faut quand même le calmer parfois, si je veux finir d'arriver en bas 😀. Là il manque juste une fourche et un amorto 😉.

Le dénivelé positif revient ensuite pour travailler du jarret. La longue combe progresse doucement sur le chemin pendant un long moment. La deuxième moitié en monotrace accentue la pente pour finir bien plus raide sur le final. Ça se monte bien tant qu'on a encore un peu de peps.
De retour en haut, ça avance avec élan dans les petites virevoltes de sentiers qui suivent. Encore une nouveauté du parcours il me semble. Joli !


L'allure est plus rapide dans le groupe maintenant. Les singles défilent sur la plaine, et cavalent dans les parties boisées au large de Rassiels. Que de belles choses encore !
A hauteur de Plafaisan, sur un petit bout de goudron, la Tour de Trespoux apparait toute proche dans le viseur, à deux ou trois bornes à peine. Le compteur te sort vite fait de ta rèverie soudaine, il reste encore douze bons km. La régalade n'est pas finit !
 
Le parcours en grand se poursuit dans les sentiers. Il en sort encore autant que possible pour nous emballer jusqu'au bout 👍.
La descente se profile depuis le lieu dit Camp Pixot. On perd un peu d'altitude durant une borne et ensuite ça penche bien plus pour dévaler sur le dernier arrêt buffet. 
Sixième ravito. Km 92. C'est encore nous 😀. Trois fois qu'on y passe, mais c'est la dernière promis 😊. Il y a encore tout ce qu'il faut pour grignoter.
On n'est pas vraiment affamé ou en manque sur celui-là, vu qu'on a quitté le ravito précédent il y a pas si longtemps. On tarde pas à reprendre le mouvement.

Sept ou huit km encore. Je connais par cœur. La belle vallée déroule du monotrace sensass quasi tout le long. On est encore assez fringuant je trouve après ce long raid, la fatigue est là mais ça roule sans se trainer. Toute la Combe de Laroque défile sur une merveille de single enfoui dans des enfilades incessantes sous les arbres. C'est géant bien que très énergivore.
Enfin on sort de là-dedans pour monter le dernier petit chemin qui débouche sur la route principale.
Deux km les gars ! Une piste cyclable lumineuse de blancheur, permet de rejoindre l'arrivée en roue libre. 
On dirait que c'est finit 😀.


101 km sur mon compte tour. Un seul tour suffit d'ailleurs 😋. 2900 m de D+. Presque 9h00 de temps total pour huit heure de roulage. A Trespoux on fait durer le plaisir ! 😉
Ça fait du bien quand ça s'arrête tout ça.
A table on retrouve toute la bande de Maillons et pleins de copains par ci par là.
En face au fond, la machine carrée diffuse la Rapiette. Il faut y faire un passage sans tarder.
Sans oublier le repas à suivre.
On prendra de longs moments de bon temps après cette superbe et intense balade lotoise. 

Trespoux c'est spécial quand même quand on y repense. Surtout à chaud comme ça.
Les tracés restent mémorables avec les années qui passent. 
A chaque fois on se gave de gourmandises sans jamais saturer il me semble. Même si physiquement c'est très costaud sur les longs parcours.
Ces enchainements de monotraces mis bout à bout, c'est grandiose et ça semble presque unique.
Ce parcours original dans sa conception se composait autour de trois boucles, avec le ravitaillement deux qui servait d'aiguillage pour les deux autres parties. 
La boucle une était bien pour démarrer et pas trop physique sur 30 km. La deuxième boucle concentrait de superbes séquences et quasiment que du sentier partout. sensass d'un bout à l'autre j'ai trouvé.
La dernière partie était quant à elle la plus costaud des trois. En plus de l'accumulation des km, on a eu là de belles montées plus coriaces, quelques raidars de la mort indispensables pour aller chercher du monotrace dans les plaines, et tous pleins de petits dénivelés fait de relances dans les sentiers (propre à ces monotraces). Tout ça demandait des ressources pour arriver à en profiter jusqu'au bout.
Bref donc les 100 bornes faut se les gagner. Mais au final c'est du bon, du trop bon ouais !
Le millésime 2022 se révèle superbe encore une fois, et après deux ans d'abstinence, il nous en remet une belle couche pour relancer la machine. 
Bravo pour tout ça et merci à toute l'équipe.

Bon et sinon le Fatbike dans tout ça ?! 
Eh ben disons que je le garde 😀 et qu'on devrait le voir cavaler un peu partout dans les campagnes durant quelques années au moins. Un vrai jouet qui fera comme les autres. Le baptême a été réussi !
A l'aise partout globalement ce genre d'engin (j'étais pas convaincu il y a 5 ou 6 mois), avant d'en essayer un. Et voilà en fait il faut l'essayer pour s'en rendre compte. Mais, faites gaffe c'est contagieux ensuite 😀.
L'effet tracteur qu'on peut ressentir lors de la perception visuelle du vélo, s'efface dès qu'on roule avec, tant c'est léger et maniable. Pas pataud du tout, il avance si on lui en donne à la pédale. C'est pas pour faire du XC clairement, mais il fera tout autant qu'un vtt classique à peu près partout. 
Le confort est très bon avec la bonne pression dans les pneus. 
En descente dans les parties cassantes, défoncées ou très techniques, il est moins à l'aise mais là encore si vous arrivez à le tenir physiquement, c'est surprenant comment il s'y tient sérieusement. Il faut aussi que je m'habitue au manque de suspensions, qui implique de se forcer à aller moins vite dans les descentes, pour apprécier encore plus le fatbike probablement.
Les dévers, les caillasses mobiles, les sentiers ou chemins empierrés, les parties un peu sablonneuse, les petites racines, là le fat se régale avec ses boudins XXL et passe mieux que tous les autres vtt je pense.


Le timing de montage a fait qu'il entame son rodage à Trespoux. Et au fond ça tombait super bien pour tester cette façon de rouler autrement et de varier les plaisirs. 
Une distance aussi grande, c'est pas l'idéal on va dire. Sauf à être vraiment en forme pour l'emmener un peu mieux et encaisser la partie très physique d'un parcours long en temps, et la part tout aussi musclée imposé par le vtt qui reste un tout rigide.
Des circuits de 50 / 60 km en moyenne seront impec pour ce vélo qui est capable de tout faire et de bien le faire en plus. Ça va être un compromis idéal pour piloter et rouler assez confortablement.
La fat attitude c'est parti 😍 😎.

Au fait rendez-vous en 2023 à Trespoux. Peut-être avant même pour un replay estival 😉. 
Sacré bon plan ! 
Salut à tous et vive le Lot !


La plaque 2022




Rdv à l'aube cette année 😊




Avec Arnaud et J Luc - Objectif 100 km



Le soleil arrive mais ça caille encore




Les sentiers lotois - Y en a partout




Ravito 1 en haut de Douelle




Christophe poursuivi par J Luc 😉




Julien qui se promène avec nous




Encore une pause restau




Bruno




Temps de printemps - Magnifique journée !




De retour sur le ravito N° 2 qui servira 3 fois en tout




Jean Marc - Jérôme - Bruno - J Luc




C'est vert et c'est bien bon à rouler




Arnaud




Campagne lotoise




J Luc




Mikael et Jean-Marie




Au ravitaillement 5 qui tardait à arriver 😛




On voit la tour, c'est pas loin, mais c'est loin d'être finit



Une belle journée sur le tracteur. Vive le Fat ! 





Sentes merveilleuses




Dernier ravitaillement




Quel enthousiasme ! Y a d'la joie par ici 👍




Après 100 km d'un super tracé. Il est temps d'en finir quand même 😊




La troupe de Maillons est déjà là....




Ça doit causer vtt peut-être 😀




Le profil 2022 de cette édition encore extra























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