► Strava - Ariégeoise Cyclo Ariégeoise Vtt
Déjà cette année là, j'avais envisagé la possibilité d'enchainer les deux, sur un beau weekend de vélo ! Bon ça ne s'est pas fait alors, mais il suffisait de patienter 😊.
2024, recalé sur la quatrième Ariégeoise vtt (plus de places disponibles), je refais la Mountagnole où je n'étais pas revenu depuis 2017. Ça m'a redonner envie de me remettre dans cette cyclosportive.
Alors en 2025, ce sera la grande Ariégeoise cyclo (169 km 4500 D+) et le lendemain, le raid Ariégeoise vtt (80 km 3000 m D+) 😯😀.
Alors en 2025, ce sera la grande Ariégeoise cyclo (169 km 4500 D+) et le lendemain, le raid Ariégeoise vtt (80 km 3000 m D+) 😯😀.
Ce sera mon Ultr'Ariégeoise 2025 😉. Y a plus qu'à se préparer pour ces deux jours.
Samedi 28 juin, environ 1100 participant sur la ligne pour le grand parcours.
Avec la chaleur annoncée, le départ est avancé d'une heure. de 8h00 on passe à 7h00. Excellente initiative !
Tarascon-Sur-Ariège départ du troupeau. RDV au Plateau de Beille le plus tôt possible svp😃. Y en a quelques uns, très peu nombreux, qui respectent les consignes, mais là plupart font durer le plaisir quand même 😂.
Donc ça part plutôt fort devant, mais dans le paquet comme beaucoup, je reste raisonnable.
On a un plein wagon de bornes à faire, des montagnes à passer, et une bosse finale toujours aussi hostile et sévère, qui ne fait pas semblant de vous mettre la misère.
La météo du jour est royale. Une bonne température matinale agréable, le soleil illumine le grand bleu juste au-dessus, et on aura même quasiment partout de l'air qui circule pour atténuer convenablement la sensation de chaleur. Bravo, bien vu cette fois !
Le peloton file vers Foix le long de l'Ariège durant une dizaine de km. Cap vers Lavelanet ensuite avec de belles parties très roulantes, et la mini bosse de Nalzen qui passe sans difficulté.
On laisse vite le Pays d'Olmes, pour fondre sur Bélesta (km 40). Une heure quinze de roulage en gros.
A partir de là, on attaque le dénivelé avec le Col de la Croix des Morts qui évolue sur une belle route ombragée pour passer la Forêt de Bélesta coté ariégeois. En plus de la beauté du site bien éclairé aujourd'hui, la fraicheur et la faible difficulté, tant en longueur qu'en pourcentage, feront que c'est très plaisant à monter 👍.
Bon mais on est en course quand même, alors personne lambine ou regarde s'il y a des cèpes. Si sur la première heure, tout le monde roule en paquet selon sa forme et le groupe qui lui va bien, maintenant c'est à chacun de faire son taf dans les bosses.
En haut du petit col, des groupes plus restreints se reforment. On va basculer dans l'Aude peu après et dérouler rapidement les km, jusqu'à Roquefeuil et Espezel (ravito 1 - pas d'arrêt).
La descente sinueuse dans les Gorges de Sault est bien sympa en roue libre.
Elle nous amène fissa vers la montée piquante de Rodome. Bienvenue dans le mur !
Trois km de bosse c'est pas long, mais ça cause pas trop là-dedans 😁.
Après cette partie tendance rugueuse, on retrouve les beaux paysages et petits reliefs faciles du Plateau de Sault qui font défiler les villages de Rodome, Aunat, et enfin Bessède (km 65).
La longue descente à suivre permettra un bon moment de répit, avant de se remettre en mouvement tout en bas au Hameau de Gesse, dans les Gorges de L'Aude.
La beauté du site à parcourir maintenant, associé à climatisation naturelle de la rivière, on est vraiment tombé sur la journée plus qu'idéale ! 👋😎😍.
Malgré tout, ça se passe encore à la pédale. Une dizaine de km dans les gorges avec un profil montant très doux (2 ou 3% de moyenne max), qui précèdent la deuxième partie du circuit qui jusqu'à là, nous avait plutôt épargné les très grosses difficultés.
Soyez pas impatients donc, ça arrive 😀.
Usson et son Château perché annonce le retour en Ariège (Terre Courage...ça va monter 😀), et le début de la longue montée vers le Col de Pailhères. 16 km d'ascension. Six km "faciles", et 10 bornes sans limites😀.
Passage au village de Rouze, et Mijanès (ravito 2 - pas d'arrêt).
On attaque ici le col proprement dit. 10 km et 900 m de dénivelé.
Difficile sur la longueur, plutôt corsé en pourcentage, il reste un des plus beaux cols à gravir dans les Pyrénées. Une super exposition lumineuse vous en mettra plein les yeux tout au long de la montée. Et plein les jambes aussi oui 😉.
La partie la plus rude se fait au début jusqu'à la station de ski et un peu au-delà (6 km environ). Ensuite dès que vous attrapez l'enchainement de virages enlacés sur le flanc de la montagne, c'est un peu moins rude (si on veut), mais surtout cette petite route étroite parfaite, vous fera admirer la progression de nombreux cyclistes, en même temps que les paysages qui se découvrent 😍.
Le dernier km plus facile vous envoie vers une dernière rampe qui termine cette grosse ascension.
Col de Pailhères, altitude 2000 m. Grand soleil, ciel bleu, des vélos partout et un ravito. Le troisième du parcours.
Cette fois je fais une petite pause de quelques minutes pour recharger les bidons.
Si vous avez le temps, le panorama ariégeois vaut le coup d'œil depuis ce sommet.
Une longue descente à suivre de 15 km. Rapide et propice à un bon moment de récupération tout le long.
Depuis le début, dans toutes les descentes, des panneaux indiquent les virages les plus délicats et les dangers éventuels qui pourraient survenir.
Une vingtaine de minutes pour atteindre la village d'Ascou et entamer la montée suivante vers le Col du Chioula 6 km plus haut. Une nouvelle bosse (500 m D+) relativement facile tout le long, toujours en gestion obligé de l'effort. Plutôt bien à passer celle-là !
Une vingtaine de minutes pour atteindre la village d'Ascou et entamer la montée suivante vers le Col du Chioula 6 km plus haut. Une nouvelle bosse (500 m D+) relativement facile tout le long, toujours en gestion obligé de l'effort. Plutôt bien à passer celle-là !
La température est élevée maintenant par ici, on est bien exposé au rayonnement, mais là encore de l'air circule et permet d'éviter de souffrir excessivement de la chaleur.
Au col un nouveau point d'eau est disponible si besoin.
La longue liaison à suivre, ce sera la descente vers le Col de Marmare, la petite route forestière ombragée vers Caussou, et puis la belle partie "roulante" 😀, de la Route des Corniches.
Une petite quinzaine de km aussi beaux que casse-pattes, où il vaut mieux prendre le temps de pas se cramer sur les ondulations répétitives qui continuent d'user les gambettes, pour faire défiler les petits bourgs de Bestiac, Lordat, Axiat, Appy, Caychax et Senconac.
A ce stade de la course, il y a peu de concurrents pour s'abriter du vent de face, et puis il reste une bosse il parait encore 😀.
A ce stade de la course, il y a peu de concurrents pour s'abriter du vent de face, et puis il reste une bosse il parait encore 😀.
On quitte les corniches et les paysages d'altitude pour plonger dans la descente rapide et technique sur Verdun, et ce sera très rapidement l'arrivée à Les Cabannes.
Nous voilà au pied du mur donc.
Ultime ravitaillement pour refaire le plein. Je fais une deuxième halte comme prévu. De l'eau fraiche et du produit pour la grimpette.
Allez gaz 😀 !
Allez gaz 😀 !
16 km 1200 m de dénivelé, ça va être rude c'est une certitude.
La première rampe annonce la couleur durant une cinquantaine de mètres. Dur dur le réveil musculaire par ici !
Beille c'est long, difficile, pentu, y a rien à voir sur 10 ou 12 bornes, et puis ça fait 150 bornes que tu machines. Bref ça dure un très long moment la fin de l'aventure.
Deux points d'eau supplémentaires sont disposés tous les 5 km environ.
Bon malgré la difficulté, je m'en sors pas si mal je trouve. J'arrive à bien progresser sans faiblir tout le long, en gérant ces foutues crampes. La chaleur est encore bien supportable, en tous cas loin d'être suffocante, comme j'ai pu l'avoir par le passé sur cette bosse.
Je double du monde aussi, c'est toujours mieux pour le moral, et les km passent sans que ce soit lassant ou décourageant.
Je double du monde aussi, c'est toujours mieux pour le moral, et les km passent sans que ce soit lassant ou décourageant.
Passé le km 11, la sortie de la forêt annonce un peu de répit sur quelques centaines de mètres à plat, avant de repartir ensuite pour trois km sérieux, entre 7 et 8% de moyenne environ.
Le décor ouvert sur les vallées et vers les montagnes, est nettement plus agréable pour finir.
Enfin le dernier km est bien plus facile et vous permet de rejoindre rapidement la ligne d'arrivée.
L'Ariégeoise 2025, c'est fait. Wahou, sacrée balade !
Le compte est bon. 169 km et 4350 m de dénivelé. 8h10 au chrono officiel.
Sur l'aire d'arrivée, un parc fermé pour les vélos, un dernier ravitaillement à disposition, le stand à bière un peu plus loin (une bière offerte serait pas du luxe 😉, ou en tous cas comprise dans le prix d'inscription), et puis pour ceux qui ont pris l'option, un plateau repas se déguste sous les chapiteaux.
J'en suis à ma troisième ariégeoise grand parcours.
Les deus premières (début les années 2000) m'avaient laissé un mauvais souvenir final, dans Beille à chaque fois. Un calvaire interminable qui prenait plus de deux heures sous le cagnard.
Cette fois, je peux dire que c'est "bien passé" cette ultime bosse. De même que toute la course globalement. Pas de gros coup de fatigue, de saturation, ni de faiblesse sérieuse du rythme.
La préparation globalement aura été bénéfique depuis janvier, et la gestion de la course fait le reste ensuite. C'est ce qui fait que ça restera une très belle journée.
Malgré tout, ces parcours restent longs (en temps) et très difficiles au vu du dénivelé total.
Le parcours Mountagnole de 120 km et frôlant les 3000 m de D+, est le plus apte à fournir de meilleures sensations de course, avec un profil nettement plus joueur.
Mais cette année ce grand circuit était vraiment tentant.
Et s'il ne fallait en faire qu'une seule grande Ariégeoise, je choisirai sans hésitation ce circuit 2025. Certainement l'un des plus beaux (non je déconne c'est le plus beau 😀), qui puisse être proposé.
Sur le papier il apparaissait fabuleux (pour qui connait la région 😍), sur le terrain il est encore mieux !
Sur le papier il apparaissait fabuleux (pour qui connait la région 😍), sur le terrain il est encore mieux !
Ce splendide tracé entre l'Ariège et l'Aude aura ravi je suppose tout le peloton sur les 155 premiers km. Oublions Beille à la fin, pour ne garder que le tout meilleur 😊.
Une première partie roulante avant de commencer à empiler le dénivelé à partir de Bélesta, et découvrir la belle partie audoise qui clôture la première moitié du parcours dans les Gorges de l'Aude, pour repasser en Ariège.
Ensuite, ça se corse sérieusement pour la deuxième moitié du circuit, qui va concentrer quasiment les deux tiers du D+. Là c'est quand même du lourd à passer dans les jarrets.
L'enchainement Pailhères, Chioula, Corniches et Beille a de quoi vous secouer de longues heures.
En parallèle à la beauté de toute cette partie, il faudra quand même taper dans le physique et garder le mental pour escalader ces montagnes.
En milieu d'après midi, on redescend tranquillement en petit groupe derrière la moto. C'est sympa comme plan ça !
Arrivé en bas, le bar est encore ouvert 😀. Ça tombe bien on a le temps, la pression de la course est retombée, autant refaire un peu le niveau en terrasse 😎.
Arrivé en bas, le bar est encore ouvert 😀. Ça tombe bien on a le temps, la pression de la course est retombée, autant refaire un peu le niveau en terrasse 😎.
Bravo pour cette édition 2025. Grande et belle journée !
La soirée au village passera tranquille. Au programme, ce sera restau et match de rugby. Les Toulousains et Béglais ayants fait durer l'intensité du plaisir au-delà des prolongations, la nuit de récup a été d'autant plus courte 😲😁.
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Dimanche matin vers 7h00 on arrive avec Daniel au petit bourg de Verdun. Départ de l'Ariégeoise vtt.
J'ai pas trop suivi les dernières infos envoyées par l'organisation 😐, où on apprend que les deux grands parcours de 60 et 80 km sont annulés, pour causse de chaleur excessive prévue au-delà de midi 😨😕.
Bon ben ok, mais c'est bien dommage ! Entre déception et interrogation, faut se faire une raison.
Tout le monde passe sur le 40 km max donc.
Tout le monde passe sur le 40 km max donc.
Décision administrative imposée ou choix de le direction de course, les avis divergent. C'était jouable il me semble en partant plus tôt (6h30) et en resserrant un peu les portes horaires pour ne plus laisser de concurrents en piste au-delà de 13h00/13h30.
Vous pouviez malgré tout après avoir fait le 40, rendre la plaque, et en mode autonome, partir sur la boucle gps finale (20 km).
Moi par contre, sur le coup, j'ai pas été bon. J'aurais dû analyser ces changements et partir très tôt pour tenter de faire le grand tour comme prévu. Dommage, j'ai un peu foiré mon plan du weekend 😀.
Vous pouviez malgré tout après avoir fait le 40, rendre la plaque, et en mode autonome, partir sur la boucle gps finale (20 km).
Moi par contre, sur le coup, j'ai pas été bon. J'aurais dû analyser ces changements et partir très tôt pour tenter de faire le grand tour comme prévu. Dommage, j'ai un peu foiré mon plan du weekend 😀.
Pas grave on va profiter du 40 km en attendant.
7h15 une vague de vététistes s'échappe dans la campagne ariégeoise. Les petits sentiers aménagés ondulent plus ou moins en bord de rivière, en passant par les villages d'Albiès, Vèbre, Urs ou Garanou, avec quelques inévitables parties routières.
On s'élève un peu au-dessus de Luzenac pour cheminer ensuite jusqu'à Unac (km 12 ravitaillement 1).
7h15 une vague de vététistes s'échappe dans la campagne ariégeoise. Les petits sentiers aménagés ondulent plus ou moins en bord de rivière, en passant par les villages d'Albiès, Vèbre, Urs ou Garanou, avec quelques inévitables parties routières.
On s'élève un peu au-dessus de Luzenac pour cheminer ensuite jusqu'à Unac (km 12 ravitaillement 1).
Une belle piste forestière ombragée et douce reprend de l'altitude avant de bifurquer vers Caussou, sur un superbe sentier dynamique 👍qui se termine avec un joli mur dans la hameau de Savenac.
La suite c'est descente sur route 😕, un talus raide vers Bestiac, et deux morceaux de descentes sympas avant de se remettre dans du bon vtt pour parcourir les sentiers en balcons jusqu'à Vernaux. Toujours très bon ce secteur !
La remontée vers Lordat c'est route et le mini portage classique.
Une belle partie vtt sauvage et fraiche permet d'accéder à Axiat pour entamer la liaison vtt parallèle à la route des Corniches. Tiens ça me rappelle quelque chose par ici hier 😀.
D'ailleurs en parlant de la balade montagnarde de la veille, je dirais que étonnamment les jambes et la forme sont encore assez gaillardes aujourd'hui. J'aurais pensé que ce serait plus fatiguant ou pénible après ce long raid routier, mais c'est plutôt bon encore.
Alors les sentiers sont pas plats malgré tout. Quelques bons petits raidars pour atteindra Appy et le deuxième ravitaillement (km 25).
Arrive peu après la seule vraie bosse du jour on va dire. Trois km pas trop difficiles sur piste, ça passe bien. On profite en même temps qu'on s'élève du paysage ariégeois.
Une fois au point haut, on bascule direct dans la sente qui va bien pour un long plongeon remuant et animé. Une super descente sur le village de Caychax pour la première partie, et ensuite la deuxième encore bien meilleure et rapide sur Albiès, amène encore un bon wagon de sensations purement vtt.
Une longue partie extra, mais à faire avec le champ libre pour apprécier pleinement. Là pour le coup, ça a été quasi "au ralenti" vu le nombre de vtt qui s'accumulaient un peu partout. Les VAE étant globalement pour la plupart très peu à l'aise dans les descentes.
Après la descente, on refait le sentier du matin en sens inverse pour revenir vers l'arrivée. Trois ou quatre km tranquille pour finir ce circuit écourté.
Il est 10h30 passé à l'horloge. Le compteur affiche 38 km et 1400 m de dénivelé. 3h30 de temps total.
Sur l'aire d'arrivée, vous avez de quoi vous restaurer un peu, tandis que le stand de bière semble fortement sollicité 😀.
Un petit parcours vtt 2025 sympa et grand public. Pour ceux qui connaissent le coin, on aura loupé quelques bonnes boucles au-dessus de Senconac et sur le versant Larcat, Aston. Ce sera pour une prochaine fois certainement.
En tous cas, ce weekend Ariégeoise 2025 aura été complet. Route et vtt avec un temps qui permettait vraiment d'apprécier ces parcours.
Je suis toujours ravi d'y retourner et quelque soit le programme proposé, ça me plait toujours autant ce coin de la Haute Ariège 😍.
L'Ariégeoise reste une super épreuve globale, servie par une très grosse organisation bien préparée et parfaitement structurée au niveau du suivi des participants, que ce soit sur route ou à vtt.
Bravo et merci pour tous ça !
J'en profite pour saluer encore tous les copains que j'ai pu revoir durant ce séjour. Pour certains ça faisait des lustres qu'on ne s'étaient plus croisés sur des sentiers. C'est toujours un grand plaisir !
A une prochaine fois, pour revenir barouder de plaisir à travers les montagnes.
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Cyclosportive |
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Profil Ariégeoise 2025 |
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Mijanès - Le Pailhères arrive |
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Fin du Col de Pailhères 😍 |
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Premier plateau de Beille - Arrivée 4 km 😋 |
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Avec J Luc - Une bière qui se fait attendre 😀 depuis le matin |
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Dimanche vtt |
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40 km seulement |
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Base de départ à Verdun |
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Jean Michel 😎Une vielle connaissance...comme moi 😀 |
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Unac - 1ère étape ravitaillement |
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Lordat en haut au pied du Château |
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