23 février 2025

La Garoutade

La Garoutade ça vous parle ? 😀
Pour les quadras et quinquas, impossible d'oublier cette épreuve hivernale, qui attirait les foules à la belle époque de cette organisation.
Rude et sensass, elle a toujours marqué les mémoires.
Retour dans les PO.

► Strava - La Garoutade


Depuis 2016, elle s’était un peu mise en sommeil. Et je n’étais quasiment plus revenu sur ses terres.
En 2024, elle sort de son hibernation pour se relancer de plus belle. 
Et c’est donc reparti pour plusieurs tours on espère 😊
Février 2025, cette fois j’y serais.
Avec quelques copains, on va revenir profiter de ces superbes descentes plutôt coriaces. 
Une nouvelle édition annoncée plus difficile que la précédente. Sachant que là-bas c’est jamais facile le vtt.

Inscriptions ouvertes dès le mois de janvier. 
Ensuite y a plus qu’à rouler un peu, pour être en condition le jour J 😀.
On va s’y retrouver à cinq pour dérouler cette Garoutade 2025. Arnaud, Jean-Luc, Olivier, Yannick et moi.
Le samedi soir, déjà sur place c'est appréciable. 
Passage à la Fabrica Vélo pour retirer le package inscription, s’imprégner de l’ambiance, et aussi bien entendu déguster une bière maison. 
L’occasion de revoir quelques copains locaux ajoute déjà un premier plaisir bien sympa.


La soirée tranquille passe impec. Petit restau en ville, hébergement parfait dans un petit village perché à quinze minutes du départ, tout est calé.
Le samedi a été bien pluvieux sur zone, mais le dimanche sera parfait. Bonne température, grand soleil à mi-journée, et pour le terrain on verra bien. 

Dimanche matin un peu avant sept heures, l’aube se profile, la lune est encore gaillarde, le ciel plutôt dégagé, et les rues du village sérieusement encombrées de vététistes tout autour du départ. Dis donc, y a du monde on dirait ! 😎 
La salle d’accueil à la Catalane s’anime autour du café.
7h15 faut être à l’heure au briefing de départ.
Une dizaine de minutes plus tard, c’est parti pour le troupeau de Garouteurs.

2 parcours au choix.
30 km ou 66 km. 
Plouf, plouf, on choisit le 66. On est dans les PO non ?!! 😀 
Le jauge du D+ indique 2500 m. Sans surprise on était prévenu. Et puis dans mes souvenirs encore vigoureux, d'une dizaine de Garoutade successives, c’était le tarif dénivelé déjà à l’époque. 
Et le circuit 2025, inhabituellement tourné dans le sens anti-horaire, promet de belles grimpettes pour aller chercher les pépites à descendre.


Allez gaz !
La foule déambule dans les ruelles, passe la Têt à la sortie du bourg et se retrouve tranquillement pour dérouler une bonne quinzaine de minutes à plat. Le calme avant la tempête.
Première montée sur piste, classique et bien gentille sur quatre bornes. Température idéale pour rider, et ça va s’améliorer au fil de la journée.
En haut de la bosse c’est parti dans les sentiers catalans. Oublier pas de jeter un œil sur les paysages qui surgissent d’un peu partout, et qui seront omniprésents toute la journée.
Coté tracé, c’est du propre au premier coup d’œil ! 👍Elagué, dégagé et shapé comme jamais, y a plus qu’à piloter et se laisser griser par les superbes sensations qui gonflent le bonheur. La première est déjà top. Ça reste technique mais pas trop, les roches, pavasses et granits sont nombreux et remuants, et surtout le terrain est impec. Les pluies de la veille ont remis du grip à coup sûr et la terre sablonneuse a épongé toute la flotte. Tout est impec, on s’y régale grave, et ça fait un bien fou de revenir remuer du cintre par ici. Sensass tout le long ! 

Sur le bas on double la trace du matin pour filer tranquillou et rejoindre la récréation suivante. Ça va grimper y parait.
D’habitude on descendait par là 😀. Le gps a raison de toute façon, alors go.
Une borne virgule cinq pas simple. La plupart se passe en selle, mais il y a aussi quelques poussages qui viennent corser la passe. Les jambes vont bien, mais vu le programme du jour on va rester en dedans. 
Les jeunes et les gaillards grimpent comme des cabris pour certains, mais on voit aussi que les VAE sont pas tous à la fête dans ces gros talus.
Chaque raidar un peu trop pentu qui peut se passer en selle, je prends l’option petit portage. Et je suis pas le seul à adopter cette technique. Gardons du jus jusqu'au bout 😀.
C'est une bosse plutôt costaud maintenant qu’on est chaud.

A la bascule en haut, ça sent le truc que tu vas aimer. On reprend de la vitesse et le vent du bonheur ressouffle fort pour la descente de la carrière. Le visuel est top bien sûr, et la trace est devenu extra ! Quasiment toujours faite en montant par le passé, elle était plutôt esquintée dans mes souvenirs. Là c’est du billard. Enfin presque. Vaut mieux éviter les gros palpas qui te bougent et rester concentré sur les quelques marches et autres épingles serrées. Et encore une fois, on sent que ça a été parfaitement préparé pour l’évènement. Bravo !
La bonne plongée sur la carrière, vous dépose sur un sentier autour d’un petit cirque, avant de continuer la descente un peu plus loin. On est sur une partie plutôt soft par ici, ça bouge gentiment, ça va plutôt rapide, mais le meilleur ça reste le visuel impressionnant à gauche au-dessus des gorges. Tout en appréciant le final de cette descente, le yeux sont tout autant à la fête.
Encore une merveille de passé !


Dans le village, le circuit continue vers une petite boucle de trois km. La montée sur la voie romaine est courte et pentue. La suite se sera direction les gorges du Rec de Corbera. Une petite descente musclée permet d’y accéder avant de poursuivre dans les gorges, le long de la mini rigole en surplomb au-dessus de la rivière. 
Les yeux grands ouverts encore. D’une part pour surveiller les passages des roues et pas aller prendre son bain matinal (c’est pas large), et d’autre part pour contempler les gorges qui défilent à droite. 
Superbe boucle qu’on a plaisir à refaire.

De retour à Rodès, km 18, on va dire que l’entrée en matière est terminée. Cap vers les plats de résistance du jour 😋. Petite bifurc à droite pour une liaison sympa vers la retenue de Vinca. Le Canigou nous apparait régulièrement depuis le matin. Il complète bien le décor qu’on découvre à mesure de la progression. Le boyau sous la route se passe au sonar en écoutant les gars devant toi. On voit que dalle pendant trente secondes environ, et le galet abondant au sol te chatouille la roue 😀. J’ai souvenir d’une seule Garoutade où il y avait des bougies tout le long. Ça avait son charme.
L’avantage du noir complet c’est que tu te vois pas te casser la gueule (les copains non plus 😂). 

De l’autre côté de la nationale, la bordure du petit lac asséché de Conillac passe tranquille, et puis voilà que rappliquent bientôt des talus aux penchants sévères. Argh ça tamponne par-là, et à quatre ou cinq reprises je crois.
Y a un photographe d’ailleurs qui shoote sur une des hauteurs. On passe au ralenti, tout le monde aura sa tronche qui en bave (avec le sourire 😀). Il y en aura un ou deux autres sur le parcours. Les photos devraient être sympas 😎.


Km 25, traversée du village de Rigarda. 
Nouvelle bosse à venir. Mi route mi chemin sur six km, ça passe bien.
La descente qui suit relance la joie et la bonne humeur, et vient refiler quelques longues secousses jusqu’au ravito.  
Une pause qui va aller bien. 32 km effectué.
On n’est pas encore trop cramé, et on tombe sur la saucisse grillée. Alors là, top ! 
Y a tout plein de choses diverses et savoureuses à grignoter (produits locaux), mais le cochon l’emporte pour ma part. Le sandwich est conséquent, et bien garni.
Prendre le temps au ravito, ça fait partie de la balade 😎.

On est quasi à mi-parcours au fait, ou à la moitié de la partie de plaisir.
La reprise poursuit un peu la descente vers un petit cours d’eau. Et pan un petit portage à suivre. Ça passe vite, on ressort sur un beau monotrace qui file bon train (en récup 😀) vers la côtelette suivante.
C’est une boucle qui se profile. Le début de la bosse coïncide avec le bas de la descente qu’on va faire ensuite.

Alors donc, vous êtes ici plutôt en bas, et là-haut c’est le Mas de l’Escape, et le CH3 (premier passage). Je vous fais pas le dessin, vous verrez en montant. Vous le sentirez surtout.
La piste rugueuse s’étire sur trois petits km globalement plutôt rudes. Faut prendre le temps quoi. Surtout que pour finir, juste après le Mas, il manque un gros km cinq dans le superbe single tout bien propre et sec. Plus raide encore que la piste, il est néanmoins bien meilleur. Rocailleux sur la première moitié, ça passe presque en selle à part deux portages obligés. Le final en sous-bois est magnifique pour dérouler ce beau sentier qui monte copieusement quand même. 
Ça a tendance à user la Garoutade 😀.


La pancarte à gauche marquée CH3 annonce la dévalade joyeuse. Ça va pencher vers le bas. 
Si la bosse était marquante, la DH à vivre maintenant laissera aussi une belle empreinte jusqu’en bas. 
Ça secoue copieux sur la roche locale qui vous laisse pas trop respirer sur la première moitié. Garouter c’est un terme de rugby il me semble, ou quelque chose qui y réfère (faudra demander aux spécialistes). 
Bon enfin, ça tabasse épais sur cette séquence. La partie finale est plus soft, avec quelques dévers et des passages de roches bien rétrécis qui peuvent facilement aiguiser les jantes ou la chappe du dérailleur. Et toujours du monotrace bien propre avec du passage de vtt des locaux probablement, et du schapage en règle. 

La boucle se referme en bas. Midi à la pendule, on poursuit sous le bon soleil maintenant. 
Le temps du jour est décidément impeccable. On est presque en tenue estivale, il fait très bon et tout ça ajoute encore un bonus plaisir.
Depuis le début, on roule en trio avec Arnaud et Jean-Luc. Olivier et Yannick qui étaient plus ou moins sur notre tempo durant les 30 premiers km, gèrent un peu plus derrière maintenant. 

La piste à peine montante est bienvenue pour se remettre en mouvement durant un petit km. Faut en profiter pour y aller mollo. Ce qui arrive c’est mortel. 
On vous l’a pas dit au départ, ou alors j’ai pas entendu (je savais déjà de toute façon), mais ce fameux CH3 on va y revenir une deuxième fois. Et puis cette fois par le côté le "plus facile"😃, celui dont raffolent tous les types qui l’ont monté au moins une fois.
Et pour ceux qui l’ont jamais monté, comme on dit un peu partout, vous avez signé c’est pour etc etc.
En gros, c’est deux bornes de dinguerie. Comptez vingt minutes environ (pour des types normaux 😀). C’est très costaud, faut du mental pour passer, ou des jambes de 30 ans pas pourries. 
Succession de paliers hyper raides tout le long, avec certes quelques dizaines de mètres de récup par ci par là, mais le manège infernal n’arrête pas trop, de vous torturer le jarret. 
Et aujourd’hui en plus, petit bonus hard avec les pluies de la veille qui avaient bien humidifié le sol. Ça te scotchait un peu plus dans la pente, histoire de prolonger le plaisir. Bon ça calme le truc ! 
Eh les gars, la banane en haut non ?!! Surtout que c’est pas finit.
Le haut de la bosse c’est dans quinze cents mètres en gros.
Par contre le monotrace va être extra. Bien que montant et demandant encore de sérieux efforts, on retrouve là de quoi s’amuser. Sentier qui passe bien quasi partout, pas mal rocailleux, avec des franchissements d’amas de roches plutôt techniques, de petites parties relaxantes en sous-bois, et un final plus rude avec quelques poussages probables quand ça devient trop raide et esquinté. Toujours aussi bon celui-là !


La gestion tranquille et plutôt en dedans du parcours depuis le matin, permet de passer les difficultés et de pouvoir ensuite se régaler au max dans les descentes. Avec l’âge c’est plus l’expérience qui pilote que le physique, et ça marche plutôt bien.

Quelque part dans la montagne on atteint le point de bascule.
Longue descente à suivre. Accrochez vous c’est du tout bon et bien velu encore. Je dirais que c’est une des plus costaud du jour (avec Shaking Boul), du fait de la longueur et de la difficulté.
Pour débuter c’est un genre voie romaine qui te bastonne fermement. 
La partie suivante renvoie du mode enduro pas pourri, ça penche fort, c’est tendu sur certains passages dont un ou deux qui ne sont plus faisables pour ma part. 
Plus bas, tout en machinant du cintre dans du remuant XXL, j’ai trouvé un gars monté en nucléaire, et descendu en vrac à l’envers qui se relevait. Il disait avoir été un peu optimiste sur le passage😀. A part ça, il allait pas trop mal et a pu repartir.
Et la suite de la descente continue de buriner le vtt qui tient bien le choc. Le bourrin qui est dessus, ça va, y gère au mieux. C’est du costaud celle-là !

Retour au calme sur la route. C’est bon de mouliner à plat ou presque. 
Deux bornes de goudronnage récup et nous voilà à Minestrol au ravito deux 😎, pour refaire le plein de vitamines. Plutôt du salé pour moi avec la dose de Cola local. Y a pas de vin de toute façon, et pour la bière faudra encore attendre quinze bornes. 


Bon alors, la montée finale on s’y colle ou quoi ?
C’est la dernière et c’est aussi la plus facile. Tout comme la première, ça se fait tranquille et sans grande difficulté. Les bornes dans les jambes elles y sont certes, mais la petite route suivie de la piste jusqu’au bourg de Casefabre passe bien. Le dernier km sur du bitume billard, encore mieux on le sent pas👍.
Sainte Marguerite (ça s’appelle comme ça par ici) merci par avance, car on va se régaler encore un bon moment à arpenter cette merveille de sentier à travers les petits maquis.
Ça va continuer à grimper légèrement, avec pas mal de petits franchissements rocheux qui sont très bons. Dans ce genre de single, on retrouve tous généralement l’envie de relancer au mieux pour peu qu’on soit encore bien physiquement. Ça tombe bien, j’ai encore du peps pour gravir les nombreux petits talus piquants avant d’atteindre le point haut un peu avant le Col de la Llosa.

Baissez la selle, ouvrez les vannes des amortos, débranchez le cerveau (ou pas) et venez chercher une surdose de bonheur. Très bonne descente avec du gros technique sur quelques zones chaud bouillantes. Deux km qui vont bien remuer encore. Tout bon !
On lâche les freins sur la piste. Il faudra remonter à peine un peu pour aller chercher la dernière DH. Le monotrace file discrètement à gauche pour la dernière dégringolade. 
Shaking Boul qu'y disent sur le panneau de départ 😁😃.
La traduction est au choix de chacun. "secouer les boules" c’est le plus logique, ou sinon "boules vibrantes" pour les amateurs 😀, ou encore à la fin de la descente, "t’as pas vu mon dentier ?"😯 Probablement aussi que comme on finit sur Bouleternère, Shaking Boul ça vient de là.
Bon enfin t’as compris que la phase finale, on va se faire masser la couenne intégralement.
C’est parti donc pour l’ultime secousse.
Sans sommations ça te met dans le dur direct, entre les roches et les passages engagés. Ça va durer un petit moment quand même le matraquage en règle. Les enchainements techniques se succèdent partout sur une bonne moitié, tandis que plus bas la trace devient plus ludique, plus rapide et bien moins accidentée, ce qui nous remet une belle couche de sensations pour finir cette journée parfaite.


Le village de Bouleternère est juste devant. 
On y fait une petite incursion rapide avant de prendre la petite route qui ramène tout le monde vers l’arrivée. 
Tout comme le début du circuit, on déroule paisiblement sur quelques km à l’horizontale. On rentre sous le soleil, le vent dans le nez, et les yeux sur les amandiers en fleurs. 
Ille-Sur-Tet, un peu avant 15h00, terminus de la promenade.

Wahou ! 
On était à la Garoutade je crois ! 😀

Sur le compte tour, on a bien 66 km et 2500 m bon poids de D+ (même si Strava m’arnaque toujours de 150 m). Tout ça aura duré 7h30 environ, avec 45 mn de pause. 
Une fois posé dans la salle, la bière locale est offerte. Ça c’est la première étape obligée, et puis juste à côté la paella vous attend pour une bonne part de restauration. Faut dire que même si on n’a manqué de rien durant l’aventure vtt, je crois qu’on est tous bien affamés.
Profitons du bon temps autour de la table.

Bon alors, cette Garoutade m’a remis en phase avec le pur vtt. 
Et revenir sur ce spot qui m’a toujours ravi, ça aura été excellent ! 
J’ai beau connaitre un peu toutes les traces du coin (c’est pas un avantage parfois de savoir ce qui t’attend à la montée 😜), c’est toujours un régal de s’engouffrer dans une DH ou un sentier joueur. 
La journée splendide et le parcours coriace et extra, font que c’est encore une édition qui mérite des félicitations.
Une équipe autour de Damien Oton a pris l’initiative de redynamiser le spot et de refaire venir les pratiquants pour un joli pèlerinage annuel. Bravo et merci, c’est réussi.
Le tarif d’inscription servant pour moitié à l’organisation complète de l’épreuve, et pour le reste les fonds sont consacrés à l’entretien et la préparation des sentiers, ainsi qu’à l’élaboration et au maintien ou à la création de parcours balisés.


Ce qui est sûr c’est que la prépa des traces a été efficace. Cherchez pas les épineux ou les arbustes qui chatouillent les avants bras ou les gambettes, il n’y en a plus. 
Côté organisation, c’est tout aussi complet et soigné, d’un bout à l’autre.
Il y a forcément du beau et gros boulot en amont pour assurer tout ça. 
Bravo pour tout et merci encore.

Pour ce qui est du circuit 2025, il était comme prévu du genre rugueux à la montée et engagé bien comme il faut quand il s’agit de descendre. 
Ça demande bien entendu un peu de préparation, on vient pas en touriste se frotter à une Garoutade. 
Et quand on aime le genre, c’est assurément un parcours très bon, plutôt guerrier ouais, complet, physique, technique, qui procure au final une belle sensation d’avoir fait du pur vtt plutôt all moutain typé enduro et de s’être amusé au max tout en gérant l’effort. 
Moi en tous cas, j’ai pas pu me débarrasser d’un sourire XXL ce dimanche. Et pareil pour les autres.

Je sens que cette aventure risque de revenir me taquiner chaque hiver dans le futur.
Découverte en 2007, ça m’avait foutu une belle claque de plaisir à l’époque. Et ensuite chaque année, on remettait le couvert dans les PO en février, et durant dix ans ça aura été des Garoutade en cascade. 
Cette fois encore, on a passé une intense et splendide journée avec les copains 😍👋😎.
Ça va probablement en motiver d’autres pour revenir garouter de plus belle.

Bon sinon à part ça, rien d'autre 😃.

Ravi d’avoir revu quelques vieilles connaissances, et au plaisir de vous retrouver un de ces quatre.
Salut à tous.


Profil Garoutade 2025 😁😎




En attendant le départ




Arnaud - Jean Luc




Yannick - Olivier





Sympa la plaque !




Joli vélo ! J'ai fait les Garoutade avec un peu tout plein de vtt.
Celui-là je dirai que c'est le plus confort, et très bon partout 👍




Les enchainements de petits raidars pour rejoindre Rigarda 😁




Dans les Gorges au bord du Rec de Corbera 😎




Le Canigou omniprésent tout au long du périple




Ravito un à Domanova




Barbecue = saucisse grillée. Extra ! 👍😍




Miguel en gravel 😉




Quelques passages sous le vtt 😀




Le final après le Mas de l'Escape. Sous-bois extra et visuel sensass !




Arrêt buffet numéro 2. On se cale pour le final de la trace




Casefabre via une montée facile




Le bonheur sur tous les visages ✌ 




Après la dernière séquence Shaking Bouleternère 😎




C'est déjà le printemps pour les amandiers dans les PO




Une petite troupe joyeuse pour gagner l'arrivée



Avec Arnaud et Jean-Luc, ça descend encore 😀




Avec Olivier. Presque on dirait deux Lotois 😀😎


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