18 mars 2018

Raid des Chapelles

Alors alors, le Raid des Chapelles version 2018 ?
Alors on est resté dans le raide, euh... toute la journée !!! 😊
Attention c'est du costaud ! Enfin même très costaud on va dire. 
Donc on y était.

► Strava - Raid des Chapelles

Deux sommets catalans on a vu ce jour. Le Canigou d'abord, et le Raid'Hard ensuite !
Le mountain bike au départ, c'est du vélo de montagne. On y est en plein là !
Un parcours guerrier qui fait pas dans la tendresse au fil des années. 

Si vous cherchez du vtt exigeant, difficile, engagé, venez faire un petit weekend dans les PO à l'occasion de cette épreuve et vous serez servi.
Par contre faut trop pas, pas trop pardon (c'est la fatigue c'est rien 😊 !) venir en touriste pour faire une balade peinard, être un "minimum" préparé et aimer ce genre là, sinon c'est pas la peine, ou plutôt ce sera la grosse peine.
Déjà le 60 km a de quoi calmer (et régaler) tout le monde, mais le 75 km faut se le gagner au jarret et aussi au mental, ce parcours catalan.

Bon nous c'est clair au club et avec des copains on y vient chaque année depuis le renouveau en 2014. Cinquième édition cette année.
Cette fois on accroche un wagon de vingt personnes plus ou moins en famille pour venir rouler au sud du Canigou.

Le camping du Vallespir tout proche du départ est bien placé pour le séjour.
Arrivé le samedi en fin de matinée, tu parles qu'on a déjà envie de rouler un peu en début d'aprem. Hélas ça tombe à l'eau rapidement avec de grosses averses et une température en chute libre.
Pas grave, demain la météo va mieux.
La règle météo des Chapelles est conforme. Le samedi il flotte copieux parfois, et le dimanche le ciel des chapelles est béni. Y sont bons sur la partie météo aussi là-bas ! 😉


On meuble l'après avec quelques emplettes du côté de la frontière et la phase apéro débute et se poursuit en parallèle au match Galles France. Sacré ambiance dans le chalet !!
Le repas du soir c'est comme d'hab au Centre Sud Canigou avec paella géante. On y retrouve les habitués du raid comme chaque année.
Une bonne chose ce repas de groupe !
Pour pas partir se mettre au pieux de bonne heure, on file prendre une tisane au bistrot du coin.
Pfff y a pas de tisane ! 
Va pour un café et pousse café du coup.

La nuit est fraîche c'est clair, et au petit matin un bon zéro degré à peine nous réveille.
Le ciel est dégagé donc ça va aller. Partir couvert et se dessaper au fil de la journée ça marche impec comme technique.

Arles-Sur-Tech devant le Centre Sud Canigou, sur l'aire de départ vers 7h00 y en a pas mal qui sont déjà partis.
Le temps de se regrouper plus ou moins, un petit café, quelques saluts par ci par là, et hop on engage aux alentours de 7h10.
Ça caille ouais, mais on va grimper bientôt. Juste le temps de s'éloigner du village, de passer la rivière, et on se met en mode grimpette sur la route.
Première bosse de 6 km environ. Ça commence tranquille on va dire, même si déjà il y a quelques passages à fort pourcentage dans cette bosse. Ils ont pas osé d'entrée mettre déjà de la montée en single, pour éviter qu'on fasse demi tour 😉.
Patience ça va arriver !



Ah oui on est au raid des Chapelles, donc sans surprises, on va en voir quelques unes en visuel sur le parcours. Celle de Santa Creu sera la première en montant cette route.
Bien plus haut, on s'est bien réchauffé quand on quitte la route.
C'est parti pour les sentiers en sous-bois. Les premiers poussages portages apparaissent très vite pour arriver au point haut de Can Rigall. Altitude de 900 m et déjà de petites traces de neige par endroits.
Dans les sentiers c'est le petit train. Tout le monde en file indienne.

On entame la première partie descendante peu après. Pas très longue pour l'instant, juste un peu de dénivelé à perdre avec quelques passages un peu chaud mais c'est une bonne petite séquence déjà, qui annonce la couleur pure et sauvage de ce qui nous attend. 
La pluie de la veille a bien humidifié la trace, ça glisse copieux, faut piloter fin et s'amuser.
Assez vite on se remet sur un profil montant avec le bike sur les épaules pour une séance portage, avant que le monotrace arrête un peu de se cabrer pour continuer un peu plus facile dans le bois.
Ça reste quand même très technique et avec le nombre ça bouchonne pas mal. Les VTTAE, plus que les autres sont en galère. Mode pédestre assez souvent. Progression très lente, ça avance pas. c'est du faux rythme pas évident à gérer.
Dans ces parties très physiques et très techniques, les bouchons sont inévitables. Pour être tranquille, et passer au mieux ces belles parties, il fallait partir très certainement vers 6h45. C'est à retenir pour la prochaine 😊.



On progresse à quatre avec Jéjé, JeanBa et Arnaud.
Au bout d'un bel effort, on bascule dans la descente.
Très rapide au début on défile bon train sur un sentier élargi. Tellement confiant qu'on voit pas la bifurcation pour attraper le bon monotrace. 
Et hop c'est parti pour un plantage royal. Le souci c'est que trente mètres plus loin on est à nouveau sur la trace qu'on doit faire un peu plus tard en remontant.
Visiblement pas mal de participants se sont fait avoir sur cette bifurcation.
Bon on a du remonter trois ou quatre cents mètres pour se remettre sur le droit chemin.

Navigation au gps sur le raid. Pas de problème pour suivre la trace si on fait gaffe. Les quelques loupés c'est toujours dû au fait d'une mauvaise lecture ou un manque de temps pour poser les yeux sur l'écran.

La bonne descente va bien. Sauf qu'on retrouve du coup la plupart des gars qu'on avait doublé. Pas évident dans le trafic des vtt de passer en rythme maintenant dans cette belle partie très technique. Dès qu'on a un peu le champ libre ça va nettement mieux pour profiter au max de la trace. On est dans une descente déjà bien engagée, avec ce qu'il faut pour se régaler.

En bas au km 17, on tombe sur le premier ravitaillement. Plus de deux heures de ride déjà !
Quelques petites gorgées de liquide et un peu de salé avant de repartir.



Après un peu de roue libre sur la route, on y va pour la deuxième ascension du jour.
Un petit bout de sentier bien raide permet d'accéder à une route. On y reste un peu avant de passer en piste pour finir la montée. Pas très difficile celle là.
En haut la trace fait un petit aller retour vers la croix de Santa Engracia. Ça vaut le coup d’œil. On y a fait une belle pause photo point de vue.

La suite de la trace progresse gentiment sur un bon sentier jusqu'à la chapelle. On y passe rapidement devant avant de reprendre le cours du raid.
La descente s'il vous plait.
Eh bien oui elle nous plait. On est vraiment aux Chapelles ça y est !
Que du top là-dedans ! Mais aussi du bien velu côté technique ! C'est sensass partout. Bien glissant, bien physique, des passages géants, des plongeons bien raides, il y a vraiment de quoi passer un super moment.
Dans la première descente, c'était pas simple avec le monde, mais là c'est bien open et on s'éclate. En bas, y a d'la joie !

On prend la route pour un peu de calme.
Km 25 environ, faut grimper les gars. Un single, un pur, un authentique. On l'avait descendu furtivement l'an passé, cette fois ce sera moins rapide en montant. Sur la partie basse, il faut longer un petit ruisseau, on est parfois tout au bord sur les rocailles, plus loin il faut le traverser comme on peut sur les caillasses, et reprendre la progression pour manger du dénivelé ensuite.
Dur à enrouler, quelques passages en petits portages, il faut taper dans le physique un peu partout, et plus haut dans la série d'épingles on n'est pas sur du gentil pourcentage, on reste dans le raid physique.



Quand on débouche à ciel ouvert, c'est Montalba. Une église, deux maisons, un ravito (le deuxième) et plein de vtt.
On a le soleil qui nous accompagne depuis un bon moment déjà. Météo impec !
Ne pas oublier de s'alimenter, ça pourra servir plus tard.

Bon on fait quoi ? On descend, on monte, on mange encore ?!!
C'est pas encore l'heure des réjouissances.
Il faut poursuivre la bosse durant quatre gros km qui vont faire mal. De bons portages nous attendent, c'est très rude la progression par ici. Beaucoup de parties chaotiques, on n'arrive pas beaucoup à rouler, et quand on le peut ça reste souvent difficile.
Il faut y passer du temps dans cette bosse. L'impression que c'est long, toujours à la tache, ça monte sans arrêt.
Au plus haut c'est top, on est carrément sur une belle trace sculptée dans un environnement enneigé. Superbe ! C'est sur des parties qui se passent bien en plus. Très bon ! 
Mais ça a été très rude celle- là, et ça entame bien le physique !

L'altitude affiche à nouveau 900 m à quelque chose près quand on commence à perdre de du dénivelé.
Première partie de descente jusqu'au lieu dit Can Félix. Assez rapide, ça permet de souffler. 

Un petit km roulant avant de plonger dans les tourbillons d'un pur sentier. La descente continue avec encore du costaud à passer. La récup c'est pas possible, il faut jouer avec le physique pour trouver le ludique, et ça demande une bonne concentration, sur une trace qui vous rend pas les choses simples.



Après une bonne séquence des secousses variées, on retrouve une partie calme. Et je rencontre Marco avec son fat, venu passer du bon temps dans le sud.
J'ai perdu de vue mes compagnons de roulage depuis quelques temps au fil de la progression. On se reverra sans doute au ravito suivant.
Pour l'heure, il faut remonter un bout de piste avant de se jeter dans le plongeon final.
C'est reparti pour secouer la machine et le bourrin dans tous les sens.
Trois belles bornes de descente en plus, toujours bien remuantes. On reste dans le technique pur et rude sur cette très longue descente depuis là-haut. Tout se passe globalement à part quelques endroits bien trop hasardeux. Faut assurer et rester raisonnable.
Si les bosses usent le physique, les descentes sont toujours loin d'être de tout repos. On ramasse aussi physiquement et techniquement. Mais ça fait du bien quand on y est dedans.

Lâchez les freins vous êtes en bas. Une partie reposante nous emmène tranquillement vers la traversée du Tech et sous le village de Palalda.
Ravitaillement numéro trois. 43 km de parcourus, il est presque 13h00.
Je me ravitaille un bon moment en attendant les potes. On tape la causette avec Miguel et Christian que je retrouve par ici.

Trente bornes encore.
Les 45 premiers km jusqu'à ce ravitaillement sont très rudes à passer j'ai trouvé. On est vraiment dans une trace hyper physique avec l'accumulation des montées dures et des superbes descentes musclées qui demandent un engagement vigoureux et une bonne technique.
C'est bien de concentrer ça sur la première partie d'ailleurs.
Les pluies de la veille ont de plus rendu le terrain plutôt lourd pour le rendement et les descentes n'en sont que plus difficiles avec l'humidité.



On s'y remet avec Jérôme qui est revenu juste avant que je reprenne le circuit.
Cool cool on déroule un peu sur la route avant de reprendre du dénivelé en monotraces.
Exposé au sud, ce versant est sec au roulage.
La bosse est longue, une dizaine de km à passer. Moins physique que les premières, mais comme on a déjà bien donné, c'est pas simple.
Il y a des portions qui permettent de faire un peu de récup, ça monte moins. Un petit morceau de route vers le milieu de la bosse.
On a droit aussi a du portage rassurez vous, vous allez pas tout faire sur la selle 😊.

Tiens pour résumer un peu le ressenti du ride sur ce raid, une petite phrase de Miguel avec qui on a roulé un peu durant la journée. Alors que je lui disais qu'on se servait de ce raid pour préparer la TransVésubienne en mai, il me dit que vu le niveau ici, on pourra bientôt aller se préparer à la TransV pour pouvoir faire le Raid des Chapelles. Brillant comme raisonnement, et ça met en plein dans le mille je trouve.

On monte, on monte encore.
Le Col de la Reducta arrive enfin. Tiens ça tombe bien d'être passé par là, y a un ravito. Le quatrième et dernier. On va lui faire la fête gentiment, mais sans trop tarder. La fraîcheur se fait vite sentir dès qu'on stoppe le mouvement, et depuis quelques minutes les nuages noirs se font menaçant au dessus du casque.



On file vers la descente qui arrive après un bout de piste.
Encore une qu'on va apprécier sur pas moins de quatre très bons km. Après les quelques amas rocheux à l'entame, ça pique fort vers en bas et c'est un régal tout le long.
Ça reste assez technique bien sûr, mais très ludique surtout. Sur la deuxième partie, on commence déjà à surfer sur quelques roches de granit, c'est extra !
Super passage qu'on redécouvre presque chaque année avec toujours autant de bonheur.

Quand ça se termine, le dernier toboggan vous balance sur la route.
Fin de l'amusement provisoire.
Km 60. Pour faire bonne mesure et pas lâcher l'affaire, il reste encore une belle bosse. Environ sept bornes quoi !
Ça tire un peu de partout et c'est pas trop la grosse pêche en commençant à grimper. Il va falloir passer la bosse avec la tête, parce que dans les jambes y en a plus trop de jus.
Pas trop dure à monter cette piste, juste longue. Je trime tranquillement en attendant que ça bascule. Ça prend presque une plombe cette fois pour arriver au point haut et atteindre le Dolmen. Dur dur les Chapelles !



Enfin on y est ! La descente des wagonnets. 
Par ici les bonnes sensations. Je m'y plonge du mieux que je peux. J'adore cette descente à chaque fois.
Dommage de pas avoir la lumière à tous les étages. Pas possible de lâcher vraiment et d'en profiter plein gaz, c'est quand même très technique encore, et avec la fatigue la vista est pas optimale pour anticiper les trajectoires et bien tenir le Yeti.
Donc je m'amuse en gérant dans cette excellente partie finale, où il faut enrouler de la roche sans arrêt, avec une vitesse bien adaptée pour donner le bon tempo à chaque toboggan.
Le grip est toujours parfait sur les granits.

Après les passages chahutés, on retrouve un sentier très rapide qui bifurque pour un dernier plongeon parfait. Un petit monotrace final bien remuant et tout bon encore pour terminer cette ultime descente. Bravo cette variante !

De retour dans le Village d'Arles-Sur-Tech. La fin est proche. Quelques ruelles dans le village, le pont sur la rivière et l'arrivée est là toute proche. Il était temps d'arriver, le ciel se met à balancer de la flotte.

Fin du Raid des Chapelles.
Costaud le bougre ! Et c'est bon quand ça s'arrête.
Le compteur s'affole sur le dénivelé avec un positif de 3600 m pour 74 km. Plus de 9h00 passé à faire joujou avec les singles catalans.
Quand je te dis que c'est raide le bazar !



Bon enfin on n'est pas surpris par la difficulté. On sait pourquoi on vient et ce à quoi on va avoir droit.
Annoncé un peu plus cool que l'an dernier, qui avait été le plus rude à l'époque, celui là je le mets pas plus "facile", mais tout aussi dur surtout sur la grosse première moitié.

Bien cramé à la fin pour ma part.
Déjà la difficulté globale en fait une épreuve très très physique, et avec une préparation cette année plus maigre que d'ordinaire, ça passe forcément moins "confort" que d'habitude. Mais ça se fait tout de même avec quelques picotements un peu partout 😊 !
Un 60 km aurait pu très bien pu me convenir, mais bon il faut bien en baver un peu plus parfois 😊, et en profiter jusqu'au bout.

Une fois que ça s'arrête, le coin repas est fin prêt à vous accueillir, ainsi qu'un ravitaillement final. La machine à bière fonctionne bien. Malgré le froid ambiant, on apprécie toujours après une journée en vadrouille dans les montagnes.
Autour de la table avec les potes, c'est toujours une belle conclusion.

Un dernier mot et pas des moindre à l'attention du club local.
Pour que tout ça prenne forme et tienne la route (enfin les sentiers plutôt), il faut adresser un grand bravo aux bosseurs du Cami Calent Catala, et des remerciements appuyés pour toutes ces bonnes choses au fil des ans.
Ce raid reste une belle référence chaque année !
Un très gros défi physique et technique pour ceux qui ont envie de faire du costaud à l'état pur. Ça va continuer ainsi sans aucun doute.



Le parcours de 60 km est là pour diminuer la distance et permettre à beaucoup de venir en profiter si on n'est pas suffisamment en jambes pour se frotter au 75 km. Et vu que la trame du parcours navigue toujours autour du point de départ, il y a moyen de composer soi même une trace de 40 / 45 ou 50 km. Ce qui ouvre encore d'autres possibilités pour s'amuser sans se le rendre infaisable et démoralisant. Et tout en prenant un max de belles et bonnes choses en descente, et s'en mettre aussi plein les yeux au passage.
Bref y a de quoi faire, et bien le faire !

Donc en voilà un de plus de bouclé.
Sacré boucle y a pas à dire !

Bravo le club des Maillons Libres qui s'est bougé pour venir en nombre cette année.
Salut à tous les copains de partout que j'ai pu revoir. Les bons plans ça attire du monde.

La nuit tombe sur les PO, faut penser à remonter vers le nord.
Le retour se fait plus tard que d'habitude.
L'aventure a été longue, rude et belle, avec une top journée en mémoire encore, et un joli WE.

L'an prochain, même heure même endroit non ?
On y sera, pour une autre tournée des Chapelles 😊
Bye bye à tous.



Un sacré numéro ce Raid !! 😊



Repas du soir au Centre Sud Canigou





Toujours bien accompagnés par les Dames





A la fraîche en sortant du camping vers le départ





La troupe de Maillons.
Il en manque quelques uns qui crapahutent déjà sur les sommets





Ça vient de démarrer, on est calme encore





Très cool les deux ou trois premiers km





Deux fat à l'entame du raid. Y en avait quelques autres ensuite





Dans la première bosse





La rocade dans le sous bois au dessus d'Arles Sur Tech 😊
Partir très tôt c'est une bonne chose sur ce raid, ou même bien plus tard pourquoi pas





Ravito 1 - Miguel et François - Les bonnes roues à prendre (si on peut suivre, ce qui nécessite d'être en forme) 😊





JeanBa - Arnaud - et Jean Paul Routens
expert en superbe raid de montagne lui aussi avec l'Utra Raid de La Meije 





Merci le soleil dominical !





Auprès de la Croix de Santa Engracia





Je crois qu'on est bien là !! 😊
Il fallait faire une petite excursion en marge de la trace pour accéder à ce joli point de vue 





Le Raid des Chapelles quoi !





Rhooo là c'est la fin de la DH de Santa Engracia. Un must !





Récup dans la joie en attendant que ça monte





Les portages sont assez nombreux sur la première moitié, et c'est bien connu sur le Raid des Chapelles





Montalba - Au ravito 2.
Aie aie aie la suite de la bosse !





Extra ces passages dans une autre dimension





Une portion cool. Si si y en a ! Pas beaucoup, mais ça existe encore 😊





Ravito 3 au col de la Reducta. Y fait pas chaud là haut !





Arrivé là, on peut dire que c'est gagné. Il reste la DH qui va bien ensuite.





Ravitaillement final.
Christophe à gauche





C'est bien aussi quand c'est terminé le Raid des Chapelles !
Repas et petite bière pour conclure.





Bien cramés le gars non ?!
Un excellent ride avec Jéjé !
Gilles en bout de table





Jean Marc et Mary





Fred en route vers le départ avec la troupe





Sébastien avec son collègue





Arnaud qui a pas pu résister à l'appel des Chapelles





JeanBa





Jéjé bien en forme





Fin de première partie de la deuxième bosse. Ravito à venir.
Photo de Nathalie.





Christian





Marco en fat. C'est gaillard !





Miguel sur son terrain de jeu





Plein les yeux au Raid des Chapelles



3 commentaires:

  1. Encore un bon coin pour poser les crampons !!! Merci pour cet excellent CR qui donne envie d'y aller !(com d'hab !)

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    1. Un très bon coin oui.
      Grosses bosses, et très grosses descentes aussi :-)

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  2. Merveilleux ce CR Yves, tu nous fais revivre à chaque lecture l'aventure!

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