Du coup on en profite aussi pour travailler son sujet sur le plan tèquenique, accessoirement savoir où on en est sur le plan physique et surtout savourer deux jours de bronzette au soleil avec des potes.
Et c'est toujours extra dans cette partie de l'Hérault. Je me suis régalé encore et pas qu'un peu, sur les traces de ce méga enduro.
Faut dire que ça fait quatre fois maintenant que je le boucle, et je commence à maîtriser beaucoup mieux les passages ultra délicats, qui me semblaient infaisables y a encore un an.
Et donc au final, excellent weekend.
Samedi matin ça commence à bouger de bonne heure vers 4h00 du mat.
Un peu après 5h00 on roule déjà. Ouais l'Épic ça commence à 5h00 alors on respecte les horaires.
Deux heures de route et on réveille 😀 Luc au Relais de Mons. Café croissant tout ça, et à 8h00 on est prêt pour prendre de la hauteur.
On reste sur Mons, alors que le départ se déroulera à Olargues le jour J.
Les guerriers du jour, y en a huit. Fred (Pax), Yohan (Grlo), Cyril (Scjsnow), Sébastien (Chouchen), Guillaume, Téo, Pyer, et moi.
Le plus guerrier on va dire que ce sera Chouchen, avec l'endurigide Edelbikes. On est pas loin du vélo idéal pour Bardou 😮😀. Bravo Seb !
Bon le programme des deux jours c'est la Boucle 2 le samedi, avec un peu de Boucle 3 genre Colombières.
Et pour le dimanche ce sera Boucle 1, plus une spéciale de B2 ou de B3 selon l'envie, le temps etc.
C'est parti sur la Voie Verte.
La température est fraîche, mais le soleil est bien là et ça va pas tarder à chauffer. On met bien deux plombes ou pas loin pour la première grimpette. La route gentille et souple, le patelin d'Auziale, la piste, portage, roulage, disparue la Citroën dans la pente, portage, roulage, photos, séquence "tomber la chemise", roulage, reportage, quelques virages, le Canigou, la mer au loin, panoramas, bout de la piste, une barrière, méchant portage, super single, dernier portage et voilà. Montahut déjà enquillé pour le D+.
D'un point de vue unanime dans le groupe, le final de la bosse est excellent, dès qu'on foule le petit sentier qui va bien.
Une pause de rigueur, ouverture des amortos, genouillères en place, et on engage en file indienne.
Facile au début, ça devient plus remuant après la portion roulante. Les épingles ça va, sauf une sur laquelle on a tenter de bûcher un peu la technique. Bon moi je passe bien à pied celle-là.
Plus bas ça secoue toujours autant. En mode reco ça va bien, en mode enduro, difficile de tenir le rythme.
Le gros passage qui combine des gros blocs et une enfilade entre deux ou trois arbres, s'est assagi depuis un an, et on peut passer plus facile par la gauche maintenant.
Après avoir traversé la piste cimentée, ça repart engagé et costaud encore jusqu'en bas.
Je me suis fait une belle petite chaleur sans rien comprendre. Une belle cabriole en plein soleil 😀. Merci le casque qui a prit quasiment tout l'impact. Plus de peur que de mal encore.
Bon le gps était sans protection lui, et il a pas résisté. HS pour de bon.
La descente est longue et ça bouge fort comme à l'accoutumée. Dans l'ensemble j'y suis plus à l'aise à chaque passage.
En bas, on reprend les mêmes et on recommence.
Faut se refaire la bosse. Ben ouais, c'est pas cool, mais t'as signé c'est pour enquiller.
Bon là on est frais encore, ça peut aller même si ça chauffe. Mais le jour J, on aura six heures de ride déjà certainement. Huhuhu ! Bonjour l'aventure épique !
Donc on machine un peu tout en discutant, en groupe le temps passe mieux. Même grimpette, et tarif identique pour les jambes et les yeux. On bosse le physique là dedans, c'est pour ça aussi qu'on est venu un peu.
Arrivé à la barrière. c'est pas finit encore, mais par contre c'est l'heure du casse croûte.
On est bien y a pas à dire aujourd'hui, c'est le weekend idéal.
Reprise un peu plus tard. Ça grimpe encore un bon bout sur chemin forestier jusqu'au GR71. Ensuite c'est piste plate et rapide jusqu'à la Chapelle de Saint Martin du Froid. Bon y a un petit coup de pédalage énergique à donner avant de déboucher sur la prairie dégagée.
Plein les mirettes par là ! 1000 m d'altitude.
Une pause avant les grandes manœuvres qui nous attendent dans la descente.
Manque plus qu'un stand avec une tireuse à bière ici, et on y passe la journée 😀
Allez faut attaquer la nouvelle Bardou rallongée.
Ça démarre bien raide dans la pente pour se mettre en appétit et ensuite j'espère pour vous que vous avez accroché vos dentiers et soudé les plombages.
Ça castagne de partout cette Bardou du haut. Un tabassage comme jamais, sur une longue série de virages en épingles. Ils se passent bien dans l'ensemble, mais c'est épouvantable de se faire secouer de la sorte.
Dix minutes contre Tyson, c'est pas sur que ce soit pire, parce que j'arriverai peut-être à l'éviter parfois 😀, mais là tu charges grave.
Les temps vont se faire sur le physique sur cette SP, car c'est pas hyper technique jusqu'en bas.
Il faut aller vite sur ces passages. C'est simple et facile à dire donc, mais de là à pouvoir le faire.
On termine cette première partie sur le petit col.
Bon ben je suis pas Bardou pour cette partie. Une variante pas heureuse car y a rien à part de la castagne sous les roues, mais bon faudra faire avec cette fois. Les paysages sont top par contre, même si le jour de la course, on va peut-être pas trop les regarder.
La suite, c'est à la pédale que ça se déroule. Un super sentier montant, plutôt technique, avec quelques petits passages où il faut être adroit et frais encore pour passer sur le vtt, surtout après les secousses précédentes. Un gros km de relance qui va compter là encore.
Mais là déjà ça me convient mieux et je m'en sors bien.
La suite de la descente, est identique à l'an dernier. Toujours aussi tapageuse et agressive jusqu'en bas, avec une bonne partie marteau piqueur encore. Sur la longueur c'est très rude.
Le final est plus tranquille dans le sentier.
Durant la descente sur le haut peu après le départ, on a croisé Alex de Vélo Caroux qui monte en trail tout en entretenant la descente, virant les caillasses, enlevant les branches etc.
Un grand merci pour le taf permanent et efficace des riders locaux qui s'emploient pour qu'on puisse en profiter.
Regroupement en bas et on termine B2 un peu plus bas dans le village.
Cette Boucle 2 va être sacrément copieuse.
Montahut (à doubler en montant) et Bardou depuis la Chapelle du Froid, va y avoir du sport en D+ et D-.
Deux spéciales qui vont peut-être faire la différence dans les chronos car la fraîcheur physique comptera beaucoup.
Montahut ça me va comme descente, mais la nouvelle Bardou du haut, c'est pas heureux pour moi.
Un petit arrêt ravito aux bagnoles pour reprendre de la flotte et quelques vitamines.
Qui fait quoi now ?
On coupe le groupe en deux en se partageant la besogne. Quatre à l'assaut des bières et de la charcutaille, et quatre à l'assaut de la Boucle 3.
Je me fais encore avoir dans le tirage au sort.
Donc on engage B3. On ne fera qu'une spéciale bien sur. Pas question de faire le tour complet.
Cap vers Tarassac et la première bosse qui nous emmène tranquillement vers la SP3 au dessus de Colombières.
RAS dans cette montée sur piste. Bien roulante, à part les cinq cents premiers mètres. Idéal pour grimper sans se fatiguer. Six bons km en longueur et un mini portage sur le sentier final. Excellent ce passage pour finir la bosse.
Mais ce sera pas la montée du jour J puisqu'on viendra de la SP2. Cette partie sera plus rude à faire avec un bon portage et une piste bien pentue au départ.
On se retrouve donc sur la photo en haut. Fred, Téo, Pyer et moi.
Manque plus qu'à descendre une des meilleures du raid. Une super monotrace très variée dans ses enchaînements. Il y a là dedans tout ce qu'il faut pour se régaler et aussi pour en baver quand le chrono tourne.
Sentier furtif entre les arbres au début, qui poursuit plus loin sur des fortes pentes terreuses, des passages très rapides en sous bois, deux ou trois grosses relances au jarret, un putain de pif paf pif infaisable encore, quelques passages ultra cassants en pédalage, et une longue bascule dans la dernière partie très technique, pour aller chercher un final purement enduro, très engagé dans la roche et les virages serrés.
Petite chaleur sur la dernière marche, Téo à fait une vidéo 😀
Bon... maintenant que je maîtrise bien mieux cette SP, je me régale partout. Et bien sèche, ça va mieux aussi.
Avec la fatigue après onze ou douze heures de ride, je serai certainement moins enchanté, mais en reco c'est extra comme descente.
En bas de la descente, on peut constater les gros ravages des eaux qui ont tout raviné et défoncé les berges et les chemins longeant le cours d'eau. La crue a du être impressionnante.
Retour à Mons par la Voie Verte. C'est apaisant de mouliner peinard après les secousses épaisses de la descente.
Pour passer la nuit tranquille et dans le confort, je connais une super adresse maintenant. Les Terrasses du Caroux. Super accueil dans cette chambre d’hôtes, blottie justement contre les parois du massif.
Plein de charme à l'extérieur et à l'intérieur.
Merci à Christophe (Apache31) pour le plan couchage excellent. On m'y reprendra 😀.
Pour le repas du soir, le restaurant Gariguette à Mons saura vous remettre d'aplomb. Bien sympa !
Dimanche le lever du jour est splendide depuis la chambre.
Tout commence bien par un bon petit déj.
On s'approche du rendez-vous (toujours à Mons comme la veille)
Cinq au départ. Fred, Téo, Pyer, Yohan et moi. Le trio en plus de la veille pédale quant à lui dans les PO, du côté de Corbères il me semble.
Aujourd'hui c'est B1 le matin, où si vous préférez, que du bonheur. Énorme et excellente !
Comme on part de Mons, pour un meilleur arrangement des bosses, on mélange les spéciales par rapport au jour J, Dans l'ordre on fera Mézeilles (SP1), puis Olargues (SP3) et enfin depuis le haut de Naudech, les Ecoliers ou Trottinettes (SP2). Y a cinquante appellations sur celle là, et je sais jamais.
Allons chercher Mézeilles par la piste. Ça se monte bien, mais c'est assez long et parfois plutôt rude sous les roues sur certaines longueurs, notamment après la citerne jusqu'au Col de la Bacoulette.
Le départ de la descente est identique à la SP1 de 2014 pendant un bon km. Ensuite ça pique sévère vers le bas, mais c'est top.
Entre les arbres sur des sentes de terres très techniques au début. Ça pavasse un peu sur un ou deux gros passages chauds, jusqu'au ruisseau de Naudech. Bon là il fait jour, ça va.
Mais en nocturne, il faudra y voir clair pour pas se manger une des subtilités de ce super monotrace.
Les temps vont se faire sur le physique sur cette SP, car c'est pas hyper technique jusqu'en bas.
Il faut aller vite sur ces passages. C'est simple et facile à dire donc, mais de là à pouvoir le faire.
On termine cette première partie sur le petit col.
Bon ben je suis pas Bardou pour cette partie. Une variante pas heureuse car y a rien à part de la castagne sous les roues, mais bon faudra faire avec cette fois. Les paysages sont top par contre, même si le jour de la course, on va peut-être pas trop les regarder.
La suite, c'est à la pédale que ça se déroule. Un super sentier montant, plutôt technique, avec quelques petits passages où il faut être adroit et frais encore pour passer sur le vtt, surtout après les secousses précédentes. Un gros km de relance qui va compter là encore.
Mais là déjà ça me convient mieux et je m'en sors bien.
La suite de la descente, est identique à l'an dernier. Toujours aussi tapageuse et agressive jusqu'en bas, avec une bonne partie marteau piqueur encore. Sur la longueur c'est très rude.
Le final est plus tranquille dans le sentier.
Durant la descente sur le haut peu après le départ, on a croisé Alex de Vélo Caroux qui monte en trail tout en entretenant la descente, virant les caillasses, enlevant les branches etc.
Un grand merci pour le taf permanent et efficace des riders locaux qui s'emploient pour qu'on puisse en profiter.
Regroupement en bas et on termine B2 un peu plus bas dans le village.
Cette Boucle 2 va être sacrément copieuse.
Montahut (à doubler en montant) et Bardou depuis la Chapelle du Froid, va y avoir du sport en D+ et D-.
Deux spéciales qui vont peut-être faire la différence dans les chronos car la fraîcheur physique comptera beaucoup.
Montahut ça me va comme descente, mais la nouvelle Bardou du haut, c'est pas heureux pour moi.
Un petit arrêt ravito aux bagnoles pour reprendre de la flotte et quelques vitamines.
Qui fait quoi now ?
On coupe le groupe en deux en se partageant la besogne. Quatre à l'assaut des bières et de la charcutaille, et quatre à l'assaut de la Boucle 3.
Je me fais encore avoir dans le tirage au sort.
Donc on engage B3. On ne fera qu'une spéciale bien sur. Pas question de faire le tour complet.
Cap vers Tarassac et la première bosse qui nous emmène tranquillement vers la SP3 au dessus de Colombières.
RAS dans cette montée sur piste. Bien roulante, à part les cinq cents premiers mètres. Idéal pour grimper sans se fatiguer. Six bons km en longueur et un mini portage sur le sentier final. Excellent ce passage pour finir la bosse.
Mais ce sera pas la montée du jour J puisqu'on viendra de la SP2. Cette partie sera plus rude à faire avec un bon portage et une piste bien pentue au départ.
On se retrouve donc sur la photo en haut. Fred, Téo, Pyer et moi.
Manque plus qu'à descendre une des meilleures du raid. Une super monotrace très variée dans ses enchaînements. Il y a là dedans tout ce qu'il faut pour se régaler et aussi pour en baver quand le chrono tourne.
Sentier furtif entre les arbres au début, qui poursuit plus loin sur des fortes pentes terreuses, des passages très rapides en sous bois, deux ou trois grosses relances au jarret, un putain de pif paf pif infaisable encore, quelques passages ultra cassants en pédalage, et une longue bascule dans la dernière partie très technique, pour aller chercher un final purement enduro, très engagé dans la roche et les virages serrés.
Bon... maintenant que je maîtrise bien mieux cette SP, je me régale partout. Et bien sèche, ça va mieux aussi.
Avec la fatigue après onze ou douze heures de ride, je serai certainement moins enchanté, mais en reco c'est extra comme descente.
En bas de la descente, on peut constater les gros ravages des eaux qui ont tout raviné et défoncé les berges et les chemins longeant le cours d'eau. La crue a du être impressionnante.
Retour à Mons par la Voie Verte. C'est apaisant de mouliner peinard après les secousses épaisses de la descente.
Pour passer la nuit tranquille et dans le confort, je connais une super adresse maintenant. Les Terrasses du Caroux. Super accueil dans cette chambre d’hôtes, blottie justement contre les parois du massif.
Plein de charme à l'extérieur et à l'intérieur.
Merci à Christophe (Apache31) pour le plan couchage excellent. On m'y reprendra 😀.
Pour le repas du soir, le restaurant Gariguette à Mons saura vous remettre d'aplomb. Bien sympa !
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Dimanche le lever du jour est splendide depuis la chambre.
Tout commence bien par un bon petit déj.
On s'approche du rendez-vous (toujours à Mons comme la veille)
Cinq au départ. Fred, Téo, Pyer, Yohan et moi. Le trio en plus de la veille pédale quant à lui dans les PO, du côté de Corbères il me semble.
Aujourd'hui c'est B1 le matin, où si vous préférez, que du bonheur. Énorme et excellente !
Comme on part de Mons, pour un meilleur arrangement des bosses, on mélange les spéciales par rapport au jour J, Dans l'ordre on fera Mézeilles (SP1), puis Olargues (SP3) et enfin depuis le haut de Naudech, les Ecoliers ou Trottinettes (SP2). Y a cinquante appellations sur celle là, et je sais jamais.
Allons chercher Mézeilles par la piste. Ça se monte bien, mais c'est assez long et parfois plutôt rude sous les roues sur certaines longueurs, notamment après la citerne jusqu'au Col de la Bacoulette.
Le départ de la descente est identique à la SP1 de 2014 pendant un bon km. Ensuite ça pique sévère vers le bas, mais c'est top.
Entre les arbres sur des sentes de terres très techniques au début. Ça pavasse un peu sur un ou deux gros passages chauds, jusqu'au ruisseau de Naudech. Bon là il fait jour, ça va.
Mais en nocturne, il faudra y voir clair pour pas se manger une des subtilités de ce super monotrace.
Plus bas, ça reste toujours extra, beaucoup moins de pente dans l'ensemble, c'est du très rapide au pédalage, avec quelques morceaux de caillasse parfois qui dépassent un peu trop sur la trace. Quelques petits sauts à faire, et on arrive vite au village de Mézeilles pour terminer sur deux virages faciles. Il y a une petite partie finale de quelques centaines de mètres, pour terminer le chrono sur un sentier, mais on l'a zappée volontairement.
Excellent ! Ça commence fort cette boucle. Superbe descente qui ne nuira à personne.
Cap en haut now.
De la piste sur quelques 5 km pour rejoindre la SP3 d'Olargues. Le jour du Raid on ira direct au Naudech via un portage qui semble corsé, pour rejoindre la SP2.
On chemine peinard en grimpette, y a juste une partie de piste un peu rude sur une borne à peine, ensuite c'est du velours.
Arrivé au pied du mur, on y va gaiement dans la pente.
C'est déjà excellent alors qu'on démarre et ça va durer jusqu'en bas. Un splendide monotrace en terre tout le long, qui se tortille de plaisir. Fred l'avait déjà faite alors qu'elle était pas complètement nettoyée. Mais maintenant c'est du méga top pour moi.
Bon on est là dans de l'enduro léger certes, avec peu de difficulté technique, juste quelques passages assez chauds, mais préparez vous à une énorme régalade.
On descend à cinq en file indienne, c'est extra.
Et un gros boulot a été fait encore sur celle là.
Elle se déroule en deux temps avec une petite partie de pédalage pour relier la jonction et aller chercher la deuxième assiette de caviar qui termine cette SP de bonheur.
J'adore, voilà c'est dit !
Un km de piste et on arrive à Olargues. Le paddock sera dressé sur une grande place qui a l'air bien pratique pour le plan global.
On se met une dose de casse croûte pour profiter du bon temps.
Et puis remise en jambes doucement sur la partie liaison qu'on aura à faire de nuit.
C'est tranquille sur route un peu, et chemins pistes ensuite. Presque 8 bornes pour arriver à la SP1 de Mézeilles. On pousse jusqu'à Naudech pour une nouvelle pause haut perchée qui domine la vallée de l'Orb.
Sentier de terre fuyante sur la partie un. RAS ça se fait tout seul (ou presque 😉) et c'est top.
Relance gaillarde pour chopper la suite beaucoup plus engagée et bien enduro cette partie là. C'est bien sec, ça passe mais faut pas se louper. Grosses émotions par endroits.
Un peu plus bas, une piste de liaison rapide et on rattrape la longue partie finale qui va bien secouer pour se mettre le compte.
Difficile cette partie avec quelques pif paf hyper serrés et de gros engagements sur la rocaille. Bon je maîtrise pas tout par ici et ça reste très rude sur la longueur.
Et un petit bonus portage de vingt cinq mètres à la fin quand t'es bien naze, ça c'est bon.
Par rapport à 2014, B1 est cette année encore bien meilleure. Pour ma part j'en suis enchanté et le ressenti du groupe était identique. Trois superbes spéciales, variées, bien costauds par endroits. Les deux premières seront les plus dures, la der sur Olargues, plus facile sera un joli final de première partie.
De plus on remonte très peu sur les mêmes pistes, ce qui est encore meilleur.
Fin de la boucle, on trace vers Mons.
Yohan nous abandonne pour une blonde en terrasse.
On avait prévu de refaire Montahut, mais c'est trop lourd à grimper et le temps passe, alors on se cale plutôt sur B3 et la SP2 des Pylônes. Mais après avoir eu un avis d'Alex qui descendait de Bardou, on se ravise car elle est pas mal défoncé encore, en tous cas pire que l'an dernier où je trouvais que c'était déjà une tuerie.
Donc du coup on se reprend un petit supplément Colombières qui elle est sensass.
Ainsi donc une paire d'heure plus tard on s'est refait la même que la veille, sur la même allure globalement.
Très bonne descente pour finir ces deux jours Epic.
J'ai pas trop de données précises vu que mon gps a fumé, mais on a enquillé chaque jour environ 50 bornes, 2200 à 2300 m de D+, pour un roulage de 6 heures en moyenne à chaque fois.
Deux très bonnes journées, bien employées et avec un max de plaisir.
Merci les amis pour ce partage.
Ravi d'avoir revu quelques têtes familières et aussi d'en avoir connu de nouvelles.
A une prochaine j'espère.
Voilà un petit ressenti perso du nouvel Epic 2015.
À blanc ça me plait déjà.
B1 c'est top et excellent avec 3 SP sensass.
B2 c'est du lourd, du hard très hard. Bof le haut de Bardou, faites vos prières à la Chapelle, ça va secouer. Ensuite pour les yeux c'est toujours excellent B2. Pour le vtt et le bourrin dessus c'est bien rude.
B3 c'est très bon pour finir (à part la partie boucherie dans les Pylônes, je m'en passerai, mais ça passera 😀. La fatigue sera déterminante cette fois encore, mais l'essentiel sera de finir.
Et sinon, le jour J ça va être corsé question D+ et ceux qui finiront devront pouvoir enquiller un peu plus de grimpette que l'an dernier encore.
La journée va être longue. Je me l'estime en treize heure de temps environ pour gérer au mieux les enchaînements.
Environ 15 bornes au moins de Voie Verte à plat pour relier les boucles et le paddock.
Le roulage sur deux jours reste une formule gagnante là-bas. Idéal pour s'amuser entre potes.
Bon j'arrête là sinon j'aurais plus que dalle à dire après la course.
Bye bye et merci pour tout.
On monte à Montahut. Et deux fois 😮! |
En dessous de l'objectif |
Guillaume - Sébastien |
Prêt pour la descente |
Fred |
Yohan - Téo |
Pyer |
Petit briefing ? 😀 |
Le Caroux |
Groupe Epic |
YETI - Le top 😊 |
Cyril |
Bronson Power |
Lapierre qui roule |
Trépied à photos |
Canyon no limit |
Panzer max |
Edelbikes Bardou 😀 |
Canigou |
Téo - Pyer |
Que du bon au soleil ! |
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