► Strava - TransBiking 09 |
Pour le côté vtt, c'est surtout sauvage et rude, en même temps que splendide pour les sensations et le goût de l'effort XXL.
C'est ce qui attire les amateurs de ces raids montagnards où le plaisir domine malgré la difficulté.
C'est ce qui attire les amateurs de ces raids montagnards où le plaisir domine malgré la difficulté.
En tous cas, c'est très bon de se retrouver dans cette vallée pyrénéenne pour dévorer encore les nombreux sentiers qui multiplient l'envie de rouler tout au long de ces traces.
Exit le concept sur deux jours des éditions précédentes. Ce troisième épisode se fait en un seul jour avec plusieurs parcours pour permettre une découverte à son rythme et selon son envie.
22 km gentil, 38 km pour s'en mettre une bonne petite dose, 60 km pour prolonger le plaisir et bien secouer les amateurs de beaux sentiers montagnards, et puis l'overdose attendue des traqueurs de longs périples, 85 km avec 3700 m D+ annoncé. Des traces engagées, longues, rudes, et surélevées dans les hauteurs.
Bon ça me plait déjà avant de commencer 😀😎.
On arrive samedi matin en petit groupe. Yohan, Fred, Jean Luc, Raphaël, Joël et moi.
Les baluchons sont bien posés au camping de Vicdessos (La Bexanelle) où on retrouve nos amis Parisiens, Jean Marc et Mary qui partagent le weekend avec nous.
Un grand chalet, le beau temps, les vélos piaffent d'impatience, et y en a qui ont même amené des bières. Pfff ! Faut être sérieux les gars un peu !!!
Samedi c'est permis. On peut rouler sur trois petits parcours différents avec des courtes montées, enfin pas très longues du moins, et de bons monotraces plein gaz ensuite.
On choisit une option un peu différente en allant grimper le Port de Lers par la route pour dévaler la descente qui trace dans la Forêt de Freychinède. Que du velours à grande vitesse tout le long. C'est splendide et grisant !
Par contre gare au piège en plein milieu avec une marche à grimper sur laquelle on arrive généralement très vite du fait que toute la descente est juste sinueuse et lisse. Joël en a fait les frais, sans gravité sérieuse heureusement au final, mais une grosse peur et deux jantes à refaire 😮.
En bas, on retrouve la route pour rejoindre Saleix, et se faire tant qu'on y est une des traces proposées au dessus du village.
Montée gaillarde d'entrée et ensuite le monotrace superbe pour aller tourner sur le Pont de Judzé. On rattrape quelques Vendéens qui sont venus tester les montagnes ariégeoises.
Super partie dans le négatif ensuite, avec un sentier en slalom géant entre les arbres.
Fin de la boucle à Auzat. Un bon petit 1000 m D+ sur 25 bornes. Pas mal pour débuter l'échauffement.
Passage au gymnase où on va saluer Laurent, Brice et toute la troupe habituelle qui mettent en scène les TransBiking.
Une belle plaque orange Caminade, un pack ravito, un gobelet XXL, un gel Squirt (pour la chaîne seulement 😀) et puis ça doit être tout, on est fin prêt.
Fin de journée au camping. Repas au restau du coin qui vaut le coup c'est garanti. La Table d'Arconac, c'est une belle trouvaille et une bonne soirée en compagnie des proprios très sympas, qui nous ont fait profiter de leur bonne table.
Le ciel étoilé pour finir la nuit peinard.
5h15 déjà ça mouline dans les piaules. Mary se pomponne de bonne heure 😀.
Petit dej complet, prépa rapide et direction le point de départ.
On retrouve JeanBa, et plein de connaissances habituelles.
7h00 il fait encore quasi nuit.
Ça démarre en groupe tranquillou, Les gps sont calibrées avec la trace, option grand parcours activé.
Pour une entame soft, c'est du bitume qui nous éloigne du village pour aller vers la centrale de Bassiès. Sept km à peu près, qui penchent bien sur les deux derniers.
On est trois à rouler ensemble avec Fred et JeanBa.
Nos compères du weekend sont pas loin.
L'Aqueduc de Bassiès est une suite idéale pour continuer. On profite de superbes vues plongeantes sur la vallée tout en déroulant tranquillement sur ce monotrace paisible en forêt.
Après les barres rocheuses sur la fin, la trace file plus rapidement avant de basculer vers Marc.
Bon quand ça descend, et que c'est de la bonne section remuante, on regarde pas trop la trace, surtout quand on est suiveurs. En bon bourrins qu'on sait être, vas y que le groupe d'une dizaine se laisse embarquer dans la descente jusqu'en bas.
Sauf que au milieu fallait enquiller tout droit dans une épingle pour pas perdre le nord.
Allez on remonte en faisant un petit détour.
La suite est belle dans les sentiers pour revenir vers Auzat. Tout au long du ruisseau de Vicdessos, et jusqu'en dessous de Saleix, c'est une excellente poursuite de monotraces hyper ludiques, avec quelques passages bouillonnants de sensations au début.
Et cette fois ils sont impeccablement secs. Souvenirs souvenirs.
Très bons passages à rallonge.
La fin de la première boucle se termine on ne peut mieux ainsi.
Village de Saleix en bas, Col de la Crouzette en haut, allez-y c'est par là, par là-haut même.
Rude montée sur la deuxième partie. Faut de sacrées ressources pour en gravir le maximum sur la selle et un développement mini mini.
La fin en gros portage obligé, pour terminer une montée qui compte dans la dépense physique.
Petite pause bienvenue là-haut avant de se mettre en mode plaisir.
Descente sur le ruisseau de Suc. Succulente ? Oui, mais très rapide aussi. Ça défile bien bon au début, quelques passages aériens avec Athanaël qui planque dans le virage, et une première séries d'épingles injecte du plaisir pur.
22 km gentil, 38 km pour s'en mettre une bonne petite dose, 60 km pour prolonger le plaisir et bien secouer les amateurs de beaux sentiers montagnards, et puis l'overdose attendue des traqueurs de longs périples, 85 km avec 3700 m D+ annoncé. Des traces engagées, longues, rudes, et surélevées dans les hauteurs.
Bon ça me plait déjà avant de commencer 😀😎.
On arrive samedi matin en petit groupe. Yohan, Fred, Jean Luc, Raphaël, Joël et moi.
Les baluchons sont bien posés au camping de Vicdessos (La Bexanelle) où on retrouve nos amis Parisiens, Jean Marc et Mary qui partagent le weekend avec nous.
Un grand chalet, le beau temps, les vélos piaffent d'impatience, et y en a qui ont même amené des bières. Pfff ! Faut être sérieux les gars un peu !!!
Samedi c'est permis. On peut rouler sur trois petits parcours différents avec des courtes montées, enfin pas très longues du moins, et de bons monotraces plein gaz ensuite.
On choisit une option un peu différente en allant grimper le Port de Lers par la route pour dévaler la descente qui trace dans la Forêt de Freychinède. Que du velours à grande vitesse tout le long. C'est splendide et grisant !
Par contre gare au piège en plein milieu avec une marche à grimper sur laquelle on arrive généralement très vite du fait que toute la descente est juste sinueuse et lisse. Joël en a fait les frais, sans gravité sérieuse heureusement au final, mais une grosse peur et deux jantes à refaire 😮.
En bas, on retrouve la route pour rejoindre Saleix, et se faire tant qu'on y est une des traces proposées au dessus du village.
Montée gaillarde d'entrée et ensuite le monotrace superbe pour aller tourner sur le Pont de Judzé. On rattrape quelques Vendéens qui sont venus tester les montagnes ariégeoises.
Super partie dans le négatif ensuite, avec un sentier en slalom géant entre les arbres.
Fin de la boucle à Auzat. Un bon petit 1000 m D+ sur 25 bornes. Pas mal pour débuter l'échauffement.
Passage au gymnase où on va saluer Laurent, Brice et toute la troupe habituelle qui mettent en scène les TransBiking.
Une belle plaque orange Caminade, un pack ravito, un gobelet XXL, un gel Squirt (pour la chaîne seulement 😀) et puis ça doit être tout, on est fin prêt.
Fin de journée au camping. Repas au restau du coin qui vaut le coup c'est garanti. La Table d'Arconac, c'est une belle trouvaille et une bonne soirée en compagnie des proprios très sympas, qui nous ont fait profiter de leur bonne table.
Le ciel étoilé pour finir la nuit peinard.
5h15 déjà ça mouline dans les piaules. Mary se pomponne de bonne heure 😀.
Petit dej complet, prépa rapide et direction le point de départ.
On retrouve JeanBa, et plein de connaissances habituelles.
7h00 il fait encore quasi nuit.
Ça démarre en groupe tranquillou, Les gps sont calibrées avec la trace, option grand parcours activé.
Pour une entame soft, c'est du bitume qui nous éloigne du village pour aller vers la centrale de Bassiès. Sept km à peu près, qui penchent bien sur les deux derniers.
On est trois à rouler ensemble avec Fred et JeanBa.
Nos compères du weekend sont pas loin.
L'Aqueduc de Bassiès est une suite idéale pour continuer. On profite de superbes vues plongeantes sur la vallée tout en déroulant tranquillement sur ce monotrace paisible en forêt.
Après les barres rocheuses sur la fin, la trace file plus rapidement avant de basculer vers Marc.
Bon quand ça descend, et que c'est de la bonne section remuante, on regarde pas trop la trace, surtout quand on est suiveurs. En bon bourrins qu'on sait être, vas y que le groupe d'une dizaine se laisse embarquer dans la descente jusqu'en bas.
Sauf que au milieu fallait enquiller tout droit dans une épingle pour pas perdre le nord.
Allez on remonte en faisant un petit détour.
La suite est belle dans les sentiers pour revenir vers Auzat. Tout au long du ruisseau de Vicdessos, et jusqu'en dessous de Saleix, c'est une excellente poursuite de monotraces hyper ludiques, avec quelques passages bouillonnants de sensations au début.
Et cette fois ils sont impeccablement secs. Souvenirs souvenirs.
Très bons passages à rallonge.
La fin de la première boucle se termine on ne peut mieux ainsi.
Village de Saleix en bas, Col de la Crouzette en haut, allez-y c'est par là, par là-haut même.
Rude montée sur la deuxième partie. Faut de sacrées ressources pour en gravir le maximum sur la selle et un développement mini mini.
La fin en gros portage obligé, pour terminer une montée qui compte dans la dépense physique.
Petite pause bienvenue là-haut avant de se mettre en mode plaisir.
Descente sur le ruisseau de Suc. Succulente ? Oui, mais très rapide aussi. Ça défile bien bon au début, quelques passages aériens avec Athanaël qui planque dans le virage, et une première séries d'épingles injecte du plaisir pur.
La trace intermédiaire remonte avec des bons petits raidars pour atteindre le passage rocheux.
Passage instable et pouvant nuire gravement à la santé sur le premier virage, même si certains sont passés (bravo), c'est du lourd en dévers ultra fuyant sur la terre, y a des piquets de ferraille, etc, pas pour moi.
Et puis ça redégringole en épingles sans se lasser de jouer. Que du sensass jusqu'en bas pour terminer la série sans trop de difficulté.
La bosse était rude, mais ensuite on se gave de bonnes choses.
Village de Suc et Sentenac une paire de km plus bas. Trente km de passé et premier ravitaillement.
On retrouve du monde, de la bonne humeur et tout ce qu'il faut pour s'alimenter.
Le temps est excellent avec le soleil matinal. Idéal pour profiter du terrain parfaitement sec sous les roues.
Une dizaine de minutes plus tard, on s'y remet dans le sentier qui grimpe vers la traversée du ruisseau de Sentenac. Un gros km énergique à la pédale, aidé par quelques petits poussages brefs.
Pour passer la petite rivière, c'est simple il y a un pont. Enfin normalement il y en avait un. Mais ça c'était avant.
L'hiver dernier a du faire des siennes sur ce secteur puisque on n'aperçoit pas la moindre planche de ce petit pont.
Passage pédestre sur les blocs rocheux.
De l'autre côté on retrouve les bonnes vibrations d'une merveilleuse descente technique. A trois en file indienne, ça engage sans modération. Délicieusement ludique jusqu'à Sentenac, avec un final très rapide, deux ou trois zigzags et une dernière agitation musclée sur les travers saillants des différentes couches de rocailles. Énorme à chaque fois celle-là !
On retrouve bien vite, le must de la région sur les balcons de Vicdessos. Passage obligé et toujours sensass. Décor rocailleux au départ sur le superbe surplomb du village et on retrouve la verdure ombragée à l'approche d'Orus.
Prolongement du sentier en liaison vers Illier avec une petite section descendante. Tout le long, c'est que du très bon à rouler. Et en plus on est à l'ombre la plupart du temps.
La partie Illier - Lapège est coriace dans ce sens, avec ses nombreux raidars à escalader. Physiquement c'est rude à de multiples reprises.
Depuis Orus on roule avec deux personnes de plus qui sont bien affûtées, dont une avec un antique Décathlon semi rigide (modèle 520 il me semble) et des pneus de 1.80. Un grandasse bien sympa avec des cheveux partout qui débordent du casque. Sacré gaillard qui avance fort !
Je suis beaucoup moins fringuant pour ma part. Fred lui est en grande forme avec son nouveau bulldozer Specialized et ils s'éloignent rapidement dans cette partie avant Lapège.
Le village se présente et je sais que le cardio va se mettre à redescendre maintenant. Et pas que lui.
DH de Lapège.
Tout le monde la connait ou presque, mais le bonheur revient à chaque fois plus intensément.
Ça file plein pot vers en bas. Pas de piège, aucun arbre et juste quelques cailloux à contourner.
Très rapide et plutôt droite au début avant d'attaquer les virages en séries. Ça tourne tout seul ces épingles arrondies et on peut remettre de la vitesse derrière jusqu'à la suivante. Un vrai festival plein d'excitation. Mon Yeti s'est rarement senti aussi bien lui aussi.
Et je retrouve les compagnons de roulage en milieu de descente. Fred lui, je suis sur de le revoir, mais en bas seulement. Il est aussi du genre furtif et vachement pressé quand ça descend. D'ailleurs sur Strava, on fait exactement le même temps sur celle là. Devinez qui a fait le KOM dans cette descente ??
Bon c'était bon, et trop bon !!
On poursuit dans les monotraces encore et toujours. Un régal de plus pour continuer et gagner Capoulet Junac.
Ravito deux à mi parcours. Laurent nous accueille, pour une bonne pause.
On retrouve Yohan et Sebastao sur le parcours Garoutade. JeanBa se fait attendre, il promène plus tranquillement ses weekends précédents en mode Cognac et bringues nocturnes 😉
Qu'est qu'on a maintenant au menu ? Pas celui du ravito qu'on a déjà parcouru, mais celui du parcours à venir.
Altitude basse 600 m, plus haut dans la montagne on doit arriver si tout va bien à 1900 m. Amusez vous les gars !
Le Pla de Montcamp ça s'appelle. Un nom qui colle mal au profil, et un profil qui colle mal aux jambes 😊.
Rassurez vous qu'y disaient, ça se fait sur quinze bornes environ. Donc en pente douce.
Bonjour le plat !
Celle-là, si vous la connaissez pas, c'est mieux je pense.
Déjà faite l'an dernier, je l'avait eu très rude, avec en plus une grosse section portage. Cette fois, pas de portage intermédiaire, mais pas mieux en sensations. faut attendre que ça passe tant bien que mal 😀.
On est six ou sept au départ à commencer la grimpette.
Monotraces au début, ça commence déjà à user le bonhomme en guise d'apéro. Très bons ces passages, mais très durs à passer en selle.
Les villages se suivent à mesure qu'on progresse. Arquizat, Axiat, Norrat et puis à partir de là, c'est le mode piste qui chemine vers le Col de Larnat, le Rocher de Miglos et jusqu'au Col du Sasc.
La piste je suis pas fan, peu de vététistes certainement apprécient ces passages tout en longueur et en lassitude, surtout quand t'es pas fringuant, mais faut faire avec parfois pour permettre peut-être à plus de monde de passer un peu plus en douceur que dans des portages gaillards. Celle là est longue comme vous imaginez pas en plus.
Je suis pas trop en jambes je trouve, donc je me gère au mieux. Roulage en solo, mes compagnons sont beaucoup mieux encore et filent devant.
Je peux presque voir les traces de Pax au sol, avec ces gommards de 2.40 qui labourent les pistes.
En montant, le ciel se couvre vers le milieu de la bosse et on reçoit une première petite averse. Pas top je me dis, mais ça dure à peine cinq minutes.
Tant bien que mal, je mouline à faible vitesse.
Une petite relâche sur piste permet de récupérer un peu avant la dernière partie.
Un peu plus tard, passé le dernier col, on bifurque vers le final pour rejoindre le Pla en portage. Fin de bosse costaud pour achever de consommer les quelques forces qui restent.
La beauté du site compense la fatigue et faut en profiter tant qu'on grimpe, pour faire le plein d'images tout azimuts.
Et en plein portage, une nouvelle petite averse un peu plus fournie que la précédente. Pluie très froide en plus.
Sur le Pla de Montcamp, c'est finit enfin. Ça m'a pris deux heures le bazar.
Bien entamé côté fatigue maintenant, mais le plus dur est fait, il ne reste que des desserts à consommer now.
Ça caille là-haut et avec l'humidité je file rejoindre la descente.
Le GR10 galope sur les prairies dans les sillons tracés par les troupeaux. Pas évident à négocier, la trace est bien mouillée, et même si ça glisse peu car y a du grip, on est beaucoup sur les freins.
Un peu plus bas, un petit portage de quelques dizaines de mètres et on se remet à dévaler pour arriver rapidement en forêt.
Segment enduro à venir, l'entame du bois c'est du très lourd qui passe plus ou moins quand c'est sec, mais là faut pas y compter tellement ça glisse sur les pavasses.
La suite est un peu moins engagé mais reste très dure. Je galère pas mal avec ce terrain hyper glissant et plusieurs passages se font à côté du vélo. Trop de risque de chute et en étant seul, ça rassure pas.
Dommage cette averse qui démolit une belle partie de DH qui passe quasi intégralement sur le sec.
La dernière partie avant le village est enfin à consommer sans modération. Technique oui beaucoup, mais sans problème. Et puis la fatigue de la bosse est digérée, ça va beaucoup mieux.
Gestiès, je retrouve Décathlonman, qui galère certes en descente, mais qui enquille malgré tout de belle manière avec ce vtt qui n'est clairement pas adapté sur cette partie.
On déboule à fond vers Siguer sur un must encore de rapidité. Un régal !
Et plus bas, ça continue encore dans le sentier après Seuillac. Une pure trace sur deux km maxi plaisir. Bravo celle là ! C'est pour ça que le vtt existe surement.
Laramade, on revient se calmer sur un cordon de goudron pour revenir voir Laurent sur le dernier ravitaillement. Je retrouve Fred enfin, qui patiente.
Une pause de plus fort appréciable. On refait les niveaux pour la dernière partie.
74 km depuis le petit matin, il en reste dix environ.
On s'y remet de bon cœur sur un autre single comme on aime, qui nous envoie sur Arconac. On repasse devant le restau de la veille. La pause bière serait tentante, mais ce sera pour plus tard.
Liaison vers Vicdessos et dernière bosse qui se profile.
Montée vers Olbier par la route. Trois petits km à peine qui se font sans difficulté, même si on a le compte maintenant au niveau dénivelé.
Derrière le village, c'est tout sourire jusqu'en bas. Monotrace extra pour très bien finir cette TB. Total bonheur !
La trace est bouclée à Auzat.
83 km (avec le petit bonus jardinage du début) et 3800 m de D+. 8h30 pour dérouler l'ensemble.
Grand parcours, grand plaisir, mais physiquement bien bien rude.
On retrouve les copains autour de la table. Pour ma part, je suis plutôt affamé comme d'habitude.
Les montagnes ça creuse et les sentiers ariégeois aiguisent l'appétit, en plus d'apporter tout leurs km de plaisir.
Fin de l'aventure en soirée autour d'une bonne bière.
Un weekend splendide encore ! On en était certain au départ, c'est toujours confirmé au final.
Merci pour tout au Team Caminade et bravo encore une fois.
Ravis d'avoir vécu ces deux jours avec les potes du club et tous les autres, merci à Jean Marc et Mary pour avoir partagés cette aventure en attendant la prochaine.
Le vtt c'est fabuleux, tel qu'on le vit un peu partout. Pour les amateurs, en montagne en général et dans celles-là particulièrement, il montre un féroce penchant vers le goût de l'effort.
Quand c'est terminé, on en éprouve un peu plus de plaisir encore !
A bientôt sur le vélo, on n'est jamais calmé et c'est incurable heureusement.
Un adjectif (parmi tant d'autres) pourrait désigner Yves, c'est prolifique! Tu es généreux autant par tes commentaires, tes efforts sur le vélo que pour le reste également...
RépondreSupprimerL'année prochaine, pourquoi pas faire cette épreuve sportive; je connais pas mal de ces sentiers pour les avoir fait en randonnée sportive et un peu en trail.
Merci Yves.
Tu as mille fois raison Jacques, l’Ariège par là-bas c’est splendide et ça mériterais d’y aller en groupe pour se balader
RépondreSupprimerLe plan ne demande qu’à prendre forme au sein du club ou avec d’autres personnes qu’on connait, sur deux jours de plaisir
Quant à l'épreuve elle même, il se murmure par des gens haut placés :-) que c'était la dernière TB09 cette année. Mais qui sait, ça peut toujours renaître...
A++
Aussi à l'aise en vélo qu'avec un clavier.
RépondreSupprimerJ'avais l'impression d'y être de nouveau.
Merci à toi