13 avril 2014

Raid des Chapelles

Chaud devant !

Bon sang, que seraient ou que deviendraient nos vtt si on n'avait ces petits bijoux de raids éclatants de bonheur ?!
Y en a un peu partout on le sait, mais on en découvre encore. Et c'est tant mieux !



Bon ça va encore me faire dire que dans le grand quart sud-ouest de la France, on compile les trésors vététissimes. 
C'est quand même pas loin de la vérité non ?!
Le rendez-vous était était très au sud dimanche ou si vous préférez, dimanche treize au sud 😀.
Le département soixante six accumule à lui seul, une multitude d'excellents spots vtt.

Le club local du Cami Calent Catala, qui n'est pas à sa première organisation, a relancé sur une nouvelle formule, la première édition du Raid des Chapelles.
Une première de gros calibre déjà. Un top model qui attirera encore plus les regards et les riders dans l'avenir sans aucun doute.

Déjà bien avant que l'aventure commence, sur les divers forums, le décompte suspense est maintenu chaque jour avec quelques formules chocs et des photos de qualité, pour parcourir du regard déjà, le paquet de sentiers qui seront au programme le jour J.




Au club, on descend une petite dizaine, accompagnés des potes habituels qui participent à l'ambiance du groupe.
Vendredi soir sur place, c'est un bon départ.
Dans tous les bons plans comme celui là, le camping du village est souvent le meilleur des refuges et le petit restau du coin est toujours bien trouvé et accueillant.

Le samedi, journée cool avec un peu de vtt le matin. 
Un petit trente km gentil sur une trace au dessus de Céret. Promenade sur les pistes, belle petite descente depuis la Chapelle Saint Ferriol et retour sur les bords du Tech. 
Après le pique nique, balade pédestre au-dessus de Maureillas pour rejoindre la tour tumulus sur les hauteurs. C'est d'ailleurs le final de la trace vtt du lendemain. 
Repas du soir plein d'ambiance joyeuse avant de se mettre au pieu. Ciel plein d'étoiles déjà.

Dimanche matin, 7h00 et quelques minutes on est sur place pour prendre la température. Beau temps comme prévu. 
L'accueil se fait au stade du village. Y a déjà un peu de monde et des copains un peu partout à saluer.
Petit déjeuner, retrait des plaques. J'hérite du numéro vingt. Belle plaque qui flashe bien.


Qu'est ce qu'on a à se mettre sous les roues aujourd'hui. Que du bon oui, mais combien ?
69 km - 2700 D+.
Voilà qui est bien parlé. Vendu. On prend celui là. 
La particularité sur le Raid des Chapelles, c'est que le grand parcours est totalement séparé des randos de plus courtes distances. Le raid XXL au sud et les circuits plus faciles et plus roulants, côté nord par rapport au village de Saint Jean Pla de Corts.
C'est bien vu, mais c'est surtout du boulot en plus pour gérer tout ça. Bravo et bien joué de pouvoir réaliser cet ensemble de traces.

7h30 c'est parti.
Jacques, FredPax, Jean Louis, Martine, Alain, Jérôme, JeanMi, Xave, Eric, Guy, Jérôme, Momoye, Félix, Didier, Jean Luc et moi, ça fait un bon groupe multicolore.
On sort du village et peu après le camping, c'est vers la droite pour une première immersion dans le vert du décor.
Petit sentier pour débuter dans la joie. Le passage à gué est pas simple si on veut pas faire un mouillage intégral des pieds. Y a quelques cailloux qui permettent de rester au sec.
On approche rapidement Maureillas. 
Un petit salut au passage au quatuor LPIstes (Les deux Philippe, JPR et Pierre) qui commencent à se dessaper.


En fuyant le village, on se met en secteur boisé pour longtemps aujourd'hui et avec plaisir.
Mode monotrace activé. Du sentier superbe à rouler mais bien technique. 
On comprend vite qu'il faut pas être trop entreprenant au début et tout le long d'ailleurs car ça va être corsé l'histoire. 
La première partie d'une quinzaine de km est extra déjà, et il faut déjà une bonne petite dose de glucides pour apporter toute l'énergie de certains franchissements. 
Ça commence fort et c'est très bon, les petites descentes sont idéales pour un peu de folie enthousiaste. 
Bien souvent tout au long du raid et à l'entame des grimpettes, un panneau indicatif met les choses au point visuellement, pour ce qui concerne la longueur, le dénivelé, le pourcentage moyen, la courbe etc. Bien vu encore !

Profil plutôt montant au début, on n'arrête pas quasiment de suivre des sentes ludiques.
Une petite boucle vient se greffer sur le parcours avant le premier arrêt buffet. 7 km pour savourer encore des traces sauvages. En gros, on a une belle bosse et une belle descente très remuante. Que du bon qui défile. 
Quand ça descend ça va tout seul, c'est super agréable et hyper joueur, mais chaque portion de grimpette est technique et rude pour la plupart, c'est ce qui rend le roulage global encore meilleur dans tous ces recoins. 
Tout ce passe sur le vtt à part quelques mini secteurs trop techniques ou trop pentus. Un petit poussage et ça repart.
On y croise Miguel aussi, qui se dédouble sur l'ensemble du parcours pour shooter les riders et faire le plein de méga pixels.
On roule à quatre avec JeanMi, Momoye, et Pax.

A la fin de la petite boucle, Oscar est au pointage. Le Canigou bien dégagé domine tout l'arrière plan. Il est immanquablement lié aux paysages des PO.



Le ravito un arrive un peu plus loin. Km 23 environ. Il est bienvenu pour s'accorder une bonne pause.
Tiens un Caminade, c'est le deuxième qu'on aperçoit aujourd'hui. Bon celui là y a le boss himself dessus. Brice se remet en selle pour le plaisir d'un bon ride c'est sur, mais dur dur la reprise 😊.

Ravitaillement impec, salé sucré, boisson, on prend le temps d'apprécier.



La reprise est du même genre que précédemment avec un rayon sentier très fourni là-bas. 
Ça repart vers les hauteurs dans une belle trace. Les transmissions restent à gauche tout le long. Bosse de sept gros km à travers les sentiers, au milieu des chênes et des châtaignés.
Il y a quelques portions pour récupérer un peu, mais ça grimpe sans arrêt presque. Toujours rude, mais toujours bien ces parties. 

Le top c'est en haut.
On est à cheval sur la frontière espagnole quasiment, quand on bifurque à droite. 
En levant les yeux, droit devant, le superbe sentier continue bien droit et surtout bien plus raide. 
Au bout de quelques dizaines de mètres sur la selle, c'est parti pour un portage velu.
Bon c'est pas long, cinq ou six minutes peut-être, à peine plus en tous cas. Par contre c'est top d'un point de vue visuel et le passage entre les roches tout en haut est trop bien.
Il se passe bien et vu la longueur, c'était idéal. Bien vu les traceurs !

Derrière cet amas de roches, ça descend fort. Pas longtemps, mais par contre c'est costaud et acharné d'un point de vue technique. Les enfilades étroites entre les énormes pavés plus ou moins ronds sont pas faciles. Gare aux dérailleurs. 
Trop fort ce raid jusqu'à là. Et c'est pas finit, on est à peine à la moitié.


Col de Manrella, on bascule en Espagne. 
La furia est en marche sur la petite piste pas très large.
Pas de technique ici, du rapide plein gaz en mode bolide, avec quelques virages et des petits sauts sur les drains naturels en terre. 
En bas, faut remettre les bielles en marche et alimenter en carburant. 
Les pistes espagnoles sont pas tendres à franchir et c'est une longue bosse pour revenir côté français.

On repasse la frontière dans un petit sentier. Passé la chaîne en travers et le portillon un peu au delà, on se jette dans un régal de descente sensass.
Rapide et technique à la fois. Au début en enfilade sinueuse entre les arbres. Très bon pour commencer et se remettre des émotions de la bosse. 
Et puis ça devient plus prononcé dans les secousses, plus viril au contact des roues. C'est la fête quoi !
Par endroits on a l'option toboggan de terre sur la gauche entre les arbres ou bastonnade en règle sur les ornières rocailleuses et les pavasses de droite.
J'ai un peu tout mélangé pour ma part, un coup à droite, un coup à gauche. A tous les coups on gagne et on ramasse une bonne dose de sensations. Plaisir intense à se faire secouer, vu ce qu'on vient de se cogner pour arriver là.
Terriblement bonne encore celle là. 
Le final est plus docile sur le monotrace qui nous emmène à l'Hotel des Trabucayres.
Pas le temps de s'arrêter roupiller, faut s'y remettre.


Oulà, que passa ?!! Une portion presque plate, de la récup 😮😀!! Ouais ouais, un peu de route tranquille pour rejoindre le ravito deux.
Passé la mi parcours, c'est une partie bienvenue pour continuer paisiblement, avec le tumulte et les enchaînements des trente cinq premiers km qui sont sans répit quasiment, on en profite pleinement à petite allure.
Le ravitaillement est caché un peu plus haut sur un site bien agréable. La Chapelle Notre Dame du Remède que ça se nomme. Bel endroit plein de charme et très reposant.
On va donc se soigner gentiment et prendre le temps de remettre des vitamines car Miguel nous laisse entendre que la piqûre à venir va être pointue. C'est vrai que jusque là ça piquait pas 😀. On a même vu des ruches au fait sur un endroit du parcours, je sais plus où.

Pour sortir de l'église, un petit escalier à dégringoler et on continue un peu sur la même route.
A l'entrée du GR10, la séquence dénivelé positif revient en force. Finit la quiétude en roue libre. 


Les infos du panneau nous informe clairement que c'est du très lourd celle là, mais c'est aussi pour notre bien tout là haut. Trois km dans une bosse dinguerie, entortillée dans les bois. Des pourcentages assassins où on arrive à passer pour la plupart, sauf sur les parties en petites pierraille fuyante ou sur les tapis de feuilles super molletonnés. 
Au milieu par là, on revient sur une petite piste qui calme un peu la pente mais ça dure pas. Elle repart vite en force encore.
Physiquement c'est vorace en énergie. C'est de l'ultra lourd à passer certains secteurs. Celui ci particulièrement, outre le fait que c'est le plus rude de tous, on a déjà beaucoup donné depuis le départ. 
Mais on est bien visuellement dans ce décor boisé et plutôt aride. On tourne et retourne sur un super circuit exigeant et pur pour le vtt.
Le temps du jour est au grand soleil. La chaleur nous a jamais posé de problème, tout se fait quasiment à l'ombre. Bois de hêtre certainement sur ces étendues forestières.

Le temps passe et on continue de crapahuter entre les arbres, sur des courbes de haut niveau. On pense (et on espère) que ça cesse bientôt, mais pour mettre un peu plus de piment, un solide portage à nouveau vers la fin.
On est toujours trois ensemble, sur un même rythme de gestion. Le petit secteur pédestre prend une bonne dizaine de minutes environ. Difficile, mais bien aussi pour casser un peu le rythme du pédalage en force.
Toujours agréable de cheminer sur ces traces. même si on n'est pas encore tout au bout. La fin de l'escalade se fait désirer, surtout que le dernier passage en portage, c'est carrément un peu de varappe sur vingt mètres. On est gâté y a pas à dire. 


Une éclaircie arrive malgré tout, et on termine ce passage pour se remettre en selle. Ça fait du bien tout de suite. Le final de la bosse est pas très difficile et on achève d'arriver rapidement sur le sommet. Altitude de 1000 mètres. 
Quelle bosse 😮!!! 

Pause photo et détente sur cet endroit très joli qui rappelle beaucoup les décors des Comminges Ariégeoises.
La reprise est d'une douceur, vous imaginez pas. Il fait une fraîcheur agréable en plus.
Le sentier continue à plat au départ, et on se remet joyeusement à appuyer bien fort sur les manivelles. Ca roule tout seul maintenant.
Petite partie véloce en descente et un chouïa de grimpette même pas sentie vers le Col de Fonfrede. 

Séquence légendaire et mythologique 😀.
Depuis des millénaires de par le monde, y a des types qui sont en quête du Graal. 
Pfff les bouffons !!! Y font pas de vtt c'est clair. 
Il était là tout simplement à la vue de tous. Et, tenez vous bien, y a même un panneau pour le cas où on le verrait pas. Pas besoin de remuer le ciel et la terre pour une timbale !
Donc oui le Graal c'est le monotrace ultime qui nous attend 😄. 
De haut en bas, six bornes de pur bonheur, neuf cent mètres de négatif, très haut en couleurs et en sensations variées.
Descente de Fontfrede. 


Bon je conçois que ceux qui la connaissent ont été moins surpris, mais toujours enchanté par ce précieux bijou. Mais pour les autres, avouez que c'est absolument somptueux.
Miguel avait dit qu'elle devrait nous plaire. C'est peu dire !!
Intense tout le long, très très longue et parfaitement faisable quel que soit le rythme qu'on veut bien lui donner. Vous pouvez aller vite ou prendre le temps, c'est le bonheur total.

Elle commence pas trop fort pour se mettre dans le tempo, à deux ou trois reprises on se jette sur une route, on fait dix mètres pour traverser et hop plein gaz dans la pente pour repartir de plus belle. Terriblement bon !!
Elle se fait d'un trait sans problème. Je me suis pas arrêté, c'était trop bonnard. Parfois il faut relâcher un peu car physiquement ça remue beaucoup, il y a des secteurs plus accidentés, plus techniques, d'autres plus rapides, mais c'est le pied intégral et pour perpète jusqu'en bas. 
Vers la fin, excellent le gros passage sur les dalles de roches. Les enduristes passent certainement plein fer au milieu, je préfère de loin contourner par la droite sur la dalle de pierre lisse qui maintien bien le grip.
Descente ultra sèche heureusement. Ça aide énormément.
Seul un passage humide et très glissant m'a calmé dès que je l'ai vu. Deux ou trois mètres à pied, c'est toujours mieux que de se louper.

Quelle descente ! Depuis tout là-haut on est vraiment dans du super.
Arrivé en bas, la coupe déborde de plaisir.
Et si comme moi vous connaissiez pas la belle de Fontfrède, eh bien allez y, faut pas être timide, elle vous ouvrira grand les bras.
Par contre attention, vous allez sans doute en tomber amoureux fou.
Splendide ! Merci les gars pour ce monument de descente. 

On profite ensuite du village de Céret, qu'on dominait durant la descente.
Le dernier ravito installé sous la fraîcheur des platanes est idéal pour se remettre des émotions passées.
L'accueil est des plus charmants et sympathique pour cette halte finale.
Que du bon temps partout, et de l’appétit aussi. Le salé est bienvenu. 


51 km au compteur avant de repartir. Il nous en reste moins de 20 km avec au moins une belle bosse encore sur le profil.
Une petit avenue dans le village, et direction la campagne vers les hauteurs.
Superbe petit ruisseau à traverser d'entrée, avec des petites piscines naturelles très colorées par la lumière. Toujours ravissant ces passages.

Juste de l'autre côté, c'est la poussette ou un petit portage selon l'envie.
On peut vite se remettre à cheval pour engager la bosse. Elle se passe sur le vtt si on a encore du jus, mais c'est pas simple. 
On est plutôt à découvert au début sur un sol caillouteux.
Devant le Momoye en mode cabri sauvage imprime son rythme gaillard et sans faiblir. Les tapas espagnoles avalées dans la semaine font de l'effet faut croire.
J'ai le Coach derrière, je peux pas me permettre de lâcher 😀, donc ça tire aux jambes tout le long des trois virages en épingles. 
Il y a trois km environ et c'est rude sous la roue, mais on est toujours dans de belles traces. 

En haut, on se remet sur de la route pour un long morceau de bitume descendant. 
Il n'y a pas mieux certainement dans le coin, sauf peut-être à grimper plus haut pour aller chercher une descente. Ça suppose encore du lourd à franchir à l'énergie qui s'estompe maintenant, donc tout le monde appréciera la tranquillité de ce petit intermède roulant.
Et puis on a les paysages de la vallée jusqu'à la mer en toile de fond.

Quand on quitte le goudron, ça sent bon la régalade. 
Rebelote dans des sentiers ludiques jusqu'à Maureillas. Une dernière descente sensass pour parfaire la boucle.
On l'avait faites la veille en pédestre jusqu'à la vieille Tour. A pied c'était sympa, en vtt c'est une autre petite merveille divertissante. 

Miguel bombarde à l'objectif en plein milieu. On s'arrête pour des félicitations qui s'imposent déjà. Je pense qu'on a pas été les seuls à faire ça. La critique sera unanime à l'arrivée.
Dernier passage technique en bas contre le grillage. Sans problème. Et puis la fuite en avance rapide sur le petit single suivant, vibrant à souhait. 
Un petit bout de plat dans le lotissement, et une dernier petit remue ménage dans le bois avant le manège à chevaux qui marque le retour à Maureillas.


Le final de cinq ou six km se fait sur le même parcours qu'au début. La surprise vient du fort vent de face qu'on attrape maintenant. On ne l'a jamais ressenti sur les hauteurs tout au long du raid, mais là il est puissant.
La traversée du gué nous attire toujours pas pour passer dans l'eau malgré la chaleur. On est avec un espagnol de Gérone qui lui se pose pas de question, il y va franco au plus profond. Il passe bien.
Au détour du sentier, on tombe sur la carcasse de 4L enfouie dans les ronces. A l'aller j'avais pas vu. Et juste après je manque de me mettre une boite sévère sur le tronc d'arbre en travers. Bon tout va bien, mais je me suis fait surprendre. 

Le pont, le village, un dernier petit bout de descente au bord du Tech, la planche en équilibre sur le fossé et le dernier sentier au milieu des roseaux pour rejoindre le lac. 
On a jardiné un peu avec la trace au bord de l'eau jusqu'au vide grenier un peu plus loin. rien d'intéressant à acheter, donc on a regagné l'arrivée 😀.


Les données du Garmin correspondent bien au programme. 
69 virgule quelque chose en km, 2729 m de D+. 7h00 quasiment pour la grande boucle et 6h00 de roulage excellent.

Le final, c'est toujours autour de la table que ça se passe et ça fait du bien quand on est là. Charcutaille, saucisse, pâtes, fromage, et le rouge pour aider la descente.

Pour la récup ensuite, c'est bronzette sur la pelouse du stade. 
Que des mines réjouies qui arrivent, fatiguées aussi, mais c'est bon signe et on oublie les courbatures quand on a dégusté autant de bonnes choses depuis le départ.

Selon les infos près de cinq cents inscrits au total, dont 120 environ sur le raid.
C'est une réussite totale. 
Une première des meilleures au Raid des Chapelles.
Splendide partout, bien costaud aussi c'est clair. Faut être un "minimum" en condition, mais sous la roue c'est du très bon et pendant longtemps. Ca va très loin dans le plaisir et pour Fonfrede, mammamia quel panard !

Merci au Cami Calent Catala pour nous avoir concocté cette merveille. 

Préparez les cartes de fidélité, y en a qui risquent de revenir chaque année 😀.
J'adore !!! 
Super weekend, super raid encore. Le vtt quand même c'est fort ! Waouh !!! 
Salut à tous.



Dans le vert du décor






Un hôtel quelque part. Sympa !






Le ciel des Chapelles






Avec JeanMi on sort du bois






Fred Pax


4 commentaires:

  1. Merci pour compte rendu d'une justesse incroyable.
    je viens de revivre le raid avec des étoiles plein les yeux
    vivement l'année prochaine
    merci encore
    jlio

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    1. On y sera oui en 2015, et peut être plus nombreux encore :-)

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  2. merci tu est au top!!! j'avoue des frissons partous en revivent chaque instant de ce superb raid je prend la carte fidèlitè ! encore merci aux CCC zig-zag .

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    1. Une super aventure oui.
      Oscar et Miguel (je ne connais que eux particulièrement) ont fait les choses en grand avec les autres.

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