6 mars 2016

Régalade & Garoutade

Passez en mars et ça repart.
Remise en selle pour deux jours de vtt sensass, ultra joyeux et un "tantinet" guerrier parfois. 
Bref, en selle pour un weekend idéal encore.



► Strava -   Sorède    &    Garoutade

Supplément photos
 De Jacques       De Momoye       Et un dernier album

Le temps est moisi partout en France sur ces premiers jours du mois. Presque partout 😊.
Un petit département gaulois et catalan aussi, résiste encore et toujours aux assauts des intempéries.


Même les quelques giboulées ramassés par ci par là, ne nous ont pas contrarié la bonne marche du plan de roulage.


Samedi 05 mars
Direction les PO pour se poser à Sorède.
Petit programme de déblocage, au pied des Albères.
Guy nous a concocté une trace pleine de surprises pour effectuer une boucle de pré chauffage avant la Garoutade le lendemain.
Une petite quinzaine de gugusses au rendez-vous. C'est bon ça !
La trace prévisionnelle annonce 45 km avec 1500 m de positif.

La météo est bonne en bas. Le soleil arrive, mais quand on lève les yeux vers les hauteurs, on aperçoit le petit manteau blanc qui enveloppe les crêtes des pics tout là-haut.
Prenons le coupe vent on sait jamais 😀.


On démarre pas aux aurores cette fois. 9h30 quand on se met en mouvement.
Le village disparaît derrière nous et au bout d'un gros km, l'ascension vers le Pic de Néoulous débute. Une longue piste de 12 km. Les premiers sont faciles, ça monte pas fort. A partir du 5 ou 6 ème, la pente se fait un peu plus agressive.

Le paysage est sympa à mesure qu'on s'élève au dessus de la plaine du Roussillon qui reste très lumineuse.
La montée se fait tranquille dans la bonne humeur du groupe.
Le chef de groupe Guy passe les troupes en revue. Donc on a là, Michel, JeanMi, Patrick, Fred, Daniel, Jean-Luc, Jérôme, Félix, Didier, Arnaud, Jacques, José qui découvre avec nous chaque fois de grandes aventures en vtt, et puis je m'oublie pas dans le comptage.

Il fait chaud en montant sur les deux premiers tiers de la bosse.
Ensuite l'altitude et les nuages grisonnants se chargent de refroidir l'atmosphère. On passe au bord des premiers névés en approchant la fin de la piste.


Coll de L'Ullat, on arrive sur la route qui rejoint le Pic. On la laisse de côté et on enquille direct dans la grosse pente qui nous fait face. Quelques mètres se font sur le vélo si on a de bons jarrets, mais bien vite c'est du pédestre et on est maintenant sur la neige fraîche. C'est pas de la poudreuse, elle est plutôt pleine de flotte et les pieds sont vite trempés.
Cinq à dix cm selon les endroits. Le blanc est de rigueur partout. on se fait bombarder par des petits glaçons qui descendent des pins avec élan.
La température est fraîche, mais il n'y a pas de vent donc il fait pas froid tant qu'on reste bien en mouvement.


Plus haut on débouche sur la bordure frontalière, et plutôt que de poursuivre vers le Pic sur la crête qui marque la frontière, on garde la petite route parallèle. Le sentier est plein de neige et ce serait du pédestre intégral qui n'avait aucun intérêt aujourd'hui.
La route est plus ou moins enneigée. Elle nous dépose tranquillement sur le Pic de Néoulous. 1256 m.

Panorama grandiose. Il manque juste le soleil.
Quelques photos et discussions plus tard, on reprend la partie.
Le terrain neigeux va nous accompagner un bon moment.
La couche est plus épaisse en haut. On contourne le Pic sur la selle ou à côté en fonction de la couche de neige, et la grosse descente arrive.
Pente forte, toute blanche, adhérence plus qu'aléatoire, mais c'est extra comme amusement.
Et puis on était loin de s'imaginer qu'on allait avoir ces conditions de roulage, qui ajoutent un piment inhabituel et insolite à la sortie.

Le monotrace pas toujours bien visible sous la neige, est presque à cheval entre la France et l'Espagne et nous descend à travers les prairies. Et il faut souvent jouer du cintre entre les paquets de bouses qui tapissent le sol. Tu crois pas que ces bestioles pourraient se lâcher, mais en dehors de la trace 😀!


Une ou deux pauses pour se regrouper. Les panoramas sont toujours splendides de part et d'autre.
On poursuit la trace toujours sur la neige. Un petit col à passer en mode portage. C'est pas long, mais faut y mettre de la bonne volonté.
Plus loin on attrape une longue piste forestière à profil à peu près plat, encore bien blanche et rude à enrouler. En plus de la neige qui recouvre tout, il y a un gros tapis de feuilles en dessous. Le pédalage est folklorique parfois.
Au premier rayon de soleil, ça va tout de suite beaucoup mieux. On en profite pour faire une pause repas.

On reprend le roulage pour gagner le bout de la piste.
Le manteau blanc s'estompe enfin dans les monotraces suivants. Forêt de hêtres et très bonne petite descente sur la Baraque des Colomates.
La perte d'altitude et le changement de côté ont refait apparaître le soleil, et ça va tout de suite nettement mieux.


Le parcours nous dirige maintenant vers la Tour de la Maçane. Des sentiers très techniques pour se régaler. Une descente de prairie ultra rapide pour prendre de l'élan et remonter en face, un passage de ruisseau, quelques petits portages obligés, et la très belle approche visuelle pour arriver au pied de la Tour.

Le soleil illumine toute la baie, la mer s'étend à perte de vue et on peut presque voir Marseille té 😀. Que du bonheur !


Après un petit bain de soleil, on enclenche pour la descente. Longue perte de dénivelé sur cinq ou six km.
Pas toujours très heureux au début sur la première partie, avec ses quelques passages épouvantables. Gros blocs rocheux infaisables, dangereux si on insiste, et sans intérêt avec un vtt, mais dans l'ensemble, ça se fait tant bien que mal.
Une fois passé le Col de Pomer dans le secteur boisé, ça va beaucoup mieux et la deuxième partie se fait quasi intégralement sur la selle, bien que ce soit très technique et furieusement chaotique.
Vive le semi rigide ici 😊!


En bas, on tombe sur la piste qui continue de descendre, pour dérouler un peu. On déroule tellement vite d'ailleurs, qu'un petit groupe en pleine bourre oublie de regarder la bifurcation de la trace. Oups !
Allez faut remonter un peu pour aller chercher le bon single.

La fin du parcours ondule sur les hauteurs au-dessus de Château Valmy. Les sous-bois sont extra et bien secs pour s'amuser dans les enfilades de sentiers.
Mais il reste encore du D+ à passer, sur une demi douzaine de km avec quelques sentiers bien raides et quelques bouts de pistes, il faut gravir quelques collines avant de rebasculer dans la plaine. Vtt gaillard pour cette mise en jambes aujourd'hui.
Le final de la trace est facile pour dérouler les derniers km et rejoindre Sorède.


Le bon temps passe vite, (sauf quand ça monte), et ce parcours marque les esprits et le corps. On arrive au village il est presque 17h00.
Sacrée journée !
45 gros km et 1700 m de positif. Le tout en un peu plus de 7h00.
C'est bon on est débloqué pour le lendemain 😀!

Camping, douche, apéro, repas du soir, grosse ambiance pèle mêle entre cyclos et vététistes, y manque rien avant une bonne nuit de récup.



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Dimanche 06 mars
Impossible de manquer mon pèlerinage annuel. 10ème de suite, je pouvais pas faire l'impasse.
La Garoutade, c'est plus fort que moi, mais j'adore ce terrain de jeu.
Et on s'est encore fait un parcours best of de trace.
Si la formule a changé avec les années, les monotraces descendants apportent toujours autant de plaisir à se laisser défiler sous les roues.

Cette fois pas d'inscription ou d'organisation proprement dite, mais un rendez-vous de riders qui viennent s'amuser tout autour d'Ille-Sur-Tet. Cet événement simplifié est proposé par Caminade,
Vous avez la trace gps fourni et vous faites votre journée comme bon vous semble.


Notre groupe s'est un peu réduit par rapport à la veille, mais on est encore une dizaine au départ sur le parking de la gare du village.
55 km à faire seulement. C'est une Garoutade plus légère qu'à l'accoutumée. 2000 m de D+ environ.
Du coup, on est moins rapide à l'allumage matinal, et on démarre la séance pédalage que vers 9h00.

Rotation du parcours dans le sens horaire.
La météo est capricieuse, on s'est pris une giboulée en sortant du camping, le soleil est pas encore vraiment au rendez-vous, vaut mieux partir un peu couvert et prévoir le coupe vent chaud au cas où.

On s'éloigne du village pour attraper la première bosse. La température était fraîche, mais ça dure pas. Les muscles sont vite réveillés sur les premières pentes.
Deux km plus haut, faut déjà baisser la tige de selle pour une première régalade sans modération.
Descente sur Saint-Michel toujours extra. Le passage ardu de l'arbre est toujours bien défoncé mais ça passe de mieux en mieux je trouve. Le monotrace est du genre bien technique dans l'ensemble.


Remise en piste pour remonter. Quatre km pas difficiles pour rejoindre le petit monotrace du Dolmen.
Le groupe s'est un peu éparpillé dans la bosse. on roule à quatre avec Jean-Luc, JeanMi, Arnaud et moi. On rencontre quelques potes à mesure de la progression.

Dans le sous-bois après le monolithe, c'est une descente top qui arrive. Elle se creuse un peu plus chaque année avec la flotte et les différents passages, mais ça reste un très grand bonheur de laisser filer rapidement entre les arbres. Il y a un peu de monde en file indienne, mais qu'importe on se régale à l'apprécier pleinement.


Fin de la belle descente, on prend la route pour remonter au col de la Falibe.
La météo qui jusque là avait été pas trop mal, se met à balancer de la flotte pendant un bon quart d'heure. Pas terrible pour le moral ce ciel gris et bouché. Un peu contraire aux prévisions surtout.
On fera avec de toute façon.
Sur la très longue piste après le col, ça s'améliore enfin et le ciel se dégage. On poursuit le train train plus ou moins rapide selon l'envie du quatuor. Sur la fin quand même ça accélère mine de rien.


Depuis la dernière descente, c'est du roulant sur treize bornes pour rejoindre le sentier de Sainte-Marguerite au dessus de Casefabre.

Là on revient sur du vtt qui va bien. Sentier grimpant, technique et rude, pour déguster derrière une super descente bien remuante et un poil enduro sur quelques passages rocailleux. Très bon à chaque fois celle-là et plutôt variée entre les passages techniques et rapides.
Le terrain est impeccablement sec, et le temps est maintenant nettement mieux.

Sur la piste d’atterrissage suivant la descente, on patiente un peu en discutant avec les riders qui se regroupent en attendant les copains.


On s'y remet plus tard sur un gros km de chemin pour rallier le début de la descente sur Bouleternère.
Extra d'enchaîner sur cet autre merveille à dévaler.
Tout se passe bien avec un peu d'habitude, même le gros mur au milieu, et c'est sensass et bien physique tout le long. Un pur régal ! Même José a du apprécier 😀.

En bas au pied du ruisseau, on retrouve Brice et Sylvain pour le point d'eau du jour. On a les ravitos dans les musettes. Une petite pause appréciable avant la big one du jour.
Le soleil aussi se met en pause pendant qu'on se ravitaille et les giboulées reprennent sur les hauteurs environnantes. Grrr !!!







Bon allez go avant que le fraîcheur s'installe.
Passage à gué pour la reprise, et direction le point haut suivant.

Pouvait on faire une Garoutade sans grimper vers le CH3 ?! C'est jamais arrivé il me semble. D'un côté ou de l'autre, on y est toujours grimpé.
Donc c'est par ici que ça se passe. Un bout de route bucolique au bord du ruisseau, et puis on embraye gentil sur un chemin de liaison avec un rampaillou qui abuse du gros pourcentage pour relier la piste cinq cents mètres plus haut. Piquant celui là !

On respire sur la piste en pente douce. Et puis arrive le secteur final toujours autant apprécié 😀. 
Le vent est porteur aujourd'hui, c'est toujours bien de l'avoir dans le dos pour grimper cette vacherie.


Compter une vingtaine de minutes en moyenne pour faire les deux bornes et enquiller toutes les torsades de virages. Les pentes sont très dures et les petits bouts de replat sont bienvenus pour faire redescendre les pulsations et relâcher à peine les muscles.
Vive le 42 dents derrière ou le VAE dans 15 ans 😀.
Je monte au mieux de ma forme du moment pour comparer le temps avec ce vtt. C'est son baptême à lui sur cette portion.
Bof... j'ai pas encore fait pété mon chrono de 2012 (avec le single speed). Je faiblis quoi !
Tiens au fait, en montant salut à Régis, Tutu vas bien 😀?

En haut on retrouve avec joie quelques connaissances. Christian, Cyrill et Patrice qui ont cherché l'entame de la descente suivante qui est rallongée quant on la prend d'un peu plus haut. Et du coup, ils ont abandonné José qui avait pris part au petit pré chauffage musclé de la veille.
Huhuhu, fallait que tu nous attende José 😀 !


Bon allez gaz ! Escapade vers en bas et fissa.
DH de l'Escape. Un must encore ! Que de l'extra tout le long, et pas très difficile.

Poursuivons la trace. Un chouïa de piste et un single invisible qui bifurque sur le talus à gauche. C'est roulant y parait. Après dix mètres de portage c'est vrai que ça roule. mais ça monte quand même un peu.
Sur le haut de la colline, une belle vue tout azimuts. L'imposant Canigou derrière et au devant, la Vallée de la Têt qui s'étale un peu plus bas, ainsi que le barrage de Vinça.
Petit single et grand bonheur à suivre. On le fait pas souvent celui-là, mais il est unique et merveilleux avec ses petits toboggans de terre et ces arbres qui s'amusent à vous frôler au plus près. Grisant !

Bouleternère

Liaison rapide vers Rodès et grimpette directe vers le vieux Château en ruines. Un petit secteur pavé conduit sur le chemin d'approche qui continue à grimper un petit peu.
La plongée suivante, dans les Gorges de la Guillera nous procure là encore un savoureux plaisir. C'est excellent ce morceau de caviar, et la dernière dalle de pierre immense que je n'avais jamais passé les autres fois, ça a été impec cette fois. Ultra sec aussi, ça aide bien.
Et dans cette petite merveille, on retrouve Momoye et Mapie, en balade pédestre dans le coin.



Le bord des Gorges, le long du canal est toujours aussi splendide et pas simple à négocier. Gare au faux pas qui vous balance à l'eau aussi sec.
Deux plongeons durant notre traversée. Une dame d'abord et puis Jean-Luc un peu plus tard, alors qu'on l'attendait à la sortie, a souhaité se doucher avant la fin 😀.
C'est sans gravité à chaque fois qu'on boit le bouillon, mais en mars l'eau est certainement super chaude on s'en doute.
Le soleil et le vent étaient heureusement présents, ce qui permet de pas trop souffrir du froid ensuite.


Le circuit remonte vers les anciennes carrières de Rodès. Voilà un beau monotrace pour remonter. A descendre c'est top, mais ça se monte aussi pas trop mal, si on n'est pas trop fumé par les efforts.
La plupart se fait sur la selle avec une bonne dose d'énergie et ensuite le portage final vous prend à peine dix minutes.
Tout au long de la montée, le visuel sur les gorges est splendide.


Avant dernière descente. De ce côté, elles sont beaucoup plus faciles à faire, et sans aucune difficultés majeures. C'est idéal pour finir.

Entre deux enfilades rapides, on retrouve les copains de la région parisienne, Jean-Marc et Mary. On pensait pas vous trouver là les amis.
Regroupement et causerie festive au soleil en bas de la descente. C'est top le vtt !


Et la joyeuse troupe repart ensemble sur la dernière bosse.
Quatre petits km plein vent, un peu dans le dos, beaucoup de face.
Chacun y va de son rythme, et il y a encore un peu de jus dans les gambettes, donc ça monte sur une belle allure pour finir.

Sans lambiner on s'enfuit dans la dernière descente.
Monotrace top pour finir. Très long, bien vibrant pour faire un dernier plein de sensations, quelques relances sur des petits talus entre les roches, un ou deux changements de cap intempestifs pour prendre la bonne trace et une plongée finale mini enduro. 
Un pur régal et un vrai festival pour revenir dans la quiétude au fil de l'eau, tout au bord de la Têt.


Deux km pour terminer tranquillou, traverser le village et rentrer en gare.
Terminus. Fin du parcours.
51 km et 2000 m de D+. 5h50 de temps total et un peu moins de 5h00 de roulage.

Ces parcours me plaisent toujours autant et dans ce sens de rotation, j'apprécie particulièrement.
On s'est fait les meilleures descentes du coin, parfaitement enchaînées.
Les montées restent faciles sur les pistes, roulantes certes, mais en contre partie ça permet à tous de se faire plaisir ensuite, et de pouvoir le faire même si on n'a pas une bonne condition physique.


La formule sans organisation normalisée me va bien (oui je sais tout me va 😀).
On est autonome, chacun sait se débrouiller, juste un point d'eau au milieu c'est impec et ça simplifie beaucoup les choses pour tout le monde.
Là en plus, il y a beaucoup plus de monde pour rouler et partager de bons moments.

A l'arrivée bien entendu pas de fidéoua, (c'est ce qui manque le plus tiens), plus de bière locale, ou de Clairette de Die.
Bon pas grave, on a pris soin de mettre quelques victuailles dans le camion et tout en prenant un bain de soleil, on refait le plein de vitamines et on réhydrate avec les bons produits.
On retrouve Régis, Jean Marc et Mary, pour siroter une mousse. 
Guy et Michel termine leur boucle quelques temps plus tard.


Un dernier passage au camping pour ranger le bazar, avant de repartir sur la grisaille routière. 
La flotte nous attend dans l'Aude, pas grave, on a eu un bon weekend au sec avec plein d'images lumineuses.

Salut aux Vendéens qu'on a rencontré sur une aire d'autoroute. Le sud ouest attire les foules en vtt, et on y vient de bien loin.

Pour finir, un grand merci à tous pour ces deux jours, pour les traces, pour le plaisir partagé et tout ce qu'il y a de bon autour de tout ça. 
Ravis d'avoir retrouvés des copains et copines.
A la prochaine vite.




Deux jours, deux profils





Rassemblement






Départ tranquille






Longue montée vers le Néoulous






José - JeanMi






Didier - Fred






Michel - Guy - Les bonnes roues à suivre, quelle que soit l'aventure






Jérôme - Patrick






Les deux plus timides - Patrick et Didier






Traces de Fossiles biens vivants 😀





Plus très loin du sommet






Le vtt qui va bien ici






Félix






Arnaud






Jean-Luc






Daniel






Jacques






Traversée de prairie






Le Dide (Viveldop pour les intimes) en démo de trial






Approche technique de la Maçane






Une trace best of au programme






Cannibalisme végétal






Première côte pour chauffer






Montées roulantes





Des maillots LPI VTT






Patrice






Joël - Mode contemplation dans les Gorges






En piste pour la der






Dans l'ultime bosse bien ventée






Arnaud avec élan






Dernière descente - JeanMi






Régis -Tutu en réhydratation active


3 commentaires:

  1. Super sortie et super ambiance ... J'ai réellement apprécié ... enfin jusqu'à la Massane ... lol

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    1. La Massane c'est du lourd José.
      C'est une belle trace pédestre, mais pour le vtt c'est une descente qui ne procure pas beaucoup de plaisir tout le long. C'est très dur et ça manque de fun.

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  2. Sacré randonnée pour ma part je suis blessé depuis plus d'un mois et voir ces images me remonte bien le moral ;)

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